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1 Le lycée de Montpellier
Mes parents habitaient Paris mais pour les raisons qu'il est inutile de préciser, mon lycée était loin d’eux, à Montpellier, sur la route de Palavas. Cette petite station balnéaire tout comme Carnon ou la Grande Motte beaucoup plus connue, était déjà une invitation à la mer. C’était un lycée privé, chic et d’excellent niveau dont certains d’entre mes lecteurs se souviennent avant qu’il ne soit joint à un autre établissement que j’éviterai de nommer pour ne pas gêner sa belle réputation.
Notre lycée privé, exclusivement pour garçons avait un internat confortable. Les chambres avec cabine de douche étaient prévues pour quatre pensionnaires. À un âge très jeune, et dès ma première rentrée dans cet internat, j’ai eu un camarade de mon âge qui resta mon ami. Il s’appelait Michel. Mes deux autres camarades de chambre étaient tous d’excellents copains. Au réveil du matin nous avions toujours le sexe très excité ce qui est fréquent chez les garçons de cet âge. Je vis qu’ils aimaient me regarder furtivement le sexe et les fesses sous la douche. Après un temps assez court, juste suffisant pour faire plus ample connaissance, je reçus même quelques caresses de plus en plus précises mais que je prenais pour des plaisanteries innocentes. Pendant les saisons chaudes, dans le Midi, les pyjamas paraissaient trop chauds et le port du slip tout la nuit peu hygiénique. Pour dormir, nous préférions revêtir seulement des chemises ou des vestes légères de pyjama qui descendaient à peine sur nos genoux. On les revêtait dès le soir avant de faire nos devoirs sur les quatre bureaux de notre chambre. Je savais déjà que j’avais des organes très développés pour mon âge et des fesses très joufflues. Cela ne me gênait nullement car ils plaisaient et attiraient les regards et même furtivement les mains. Même le vieux médecin scolaire avait noté en souriant cette caractéristique de mon anatomie. Mais les regards sur moi devinrent de plus en plus affirmés. La cabine de douche pouvait nous accueillir deux par deux. J’y entrais avec Michel. À 12 ans je ne m’étais jamais masturbé alors que j’avais de très proéminentes érections qui surprenaient les trois autres. Notre intimité devenait rapidement plus sensible. Comprenant sans doute ma naïveté, mes compagnons n’allaient pas à mon égard au-delà de caresses furtives qui me plaisaient mais qui m’étonnaient. Michel, qui se douchait avec moi n’essayait pas de me dissimuler sa bite très raide alors qu’avec innocence je lui laissais saisir la mienne sous la douche. En fait c’est lui qui me douchait en me faisant prendre les positions qu’il désirait. Mais j’avais un naturel amical et docile. Mes autres camarades de chambre devaient sans doute se masturber sous la douche à mon insu ce que j’ignorais alors, avec une totale naïveté qui les faisait sourire.
Un matin alors qu’il n'était pas encore l'heure de se lever, je sortis de notre chambre, avec l’envie pressante d’aller aux toilettes. Je rentrais dans l'unique cabine faite pour deux chambres et alors que j'allais fermer la porte, Michel qui m’avait suivit la retint et me dit « j'ai une trop grosse envie de pisser, alors laisse-moi pisser avec toi, sois sympa ». Bien sûr je ne le repoussai pas. Nous connaissions déjà nos organes ! Nous soulevions nos chemises de nuit et commençons à uriner de concert. Il finit avant moi et sa queue se mit vite en érection. Puis subitement il prit mon sexe et me dit « Quand on a fini de pisser il faut la secouer pour faire tomber la dernière goute ! » et il secoua ma bite. Je me laissais faire. " Tu peux toujours me secouer la mienne ce serait gentil " et je pris docilement mais fermement la sienne et la lui secouai aussi. Le problème c'est qu’il n'avait pas envie de lâcher la mienne et continuais à me la tenir. Il appréciait cela et avec un consentement silencieux il a continué à me caresser les fesses, palper mes testicules comme l’avait fait le vieux médecin, glisser sa main entre elles et mon anus ce qui aurait pu devenir les prémices d’une masturbation dont j’ignorais l’existence. Je vis même une goutte transparente apparaître au bout de sa verge… mais nous avons été dérangés par un camarade de dortoir qui arrivait et nous sommes sortis après avoir rabattu nos chemises..
Dans la nuit suivante vers je ne sais pas quelle heure, je sentis une main qui me caressait le dos, je sursautais et m'aperçu que c'était Michel qui me disait discrètement de me taire. J’entendais le souffle des autres garçons qui dormaient. Michel était passé de son lit à mon lit et me dit silencieusement à l'oreille
- Tais-toi. Sois gentil. Ça ne t'embête pas que je vienne près de toi ? Je n’arrive pas à m’endormir seul ce soir !
J’acceptai amicalement et il vint se coller à moi. Il me remercia en m’embrassant le cou. Il sentait bon. Il avait dû se parfumer à mon intention avant d’entrer dans mon lit. Ses mains sur mon épaule semblaient me protéger. Il laissa passer quelques minutes sans bouger. Puis je sentis qu’il faisait doucement remonter ma chemise de nuit. Sa main palpait mes fesses. Puis il ôta totalement sa chemise et nous avons caressés nos fesses pendant longtemps. Il adorait pétrir mes fesses qui étaient comme certains me le disaient en riant, épaisses et bien rondes. Son organe était devenue très dur, le mien aussi et cela pendant un long moment fait de caresses et de palpation... Il m’avait pris la verge dans sa main et lui imprimait des pressions régulières. Il me chuchota que j’avais un gros organe, ce que je savais.
C’est alors que je ressentis une étrange sensation, un bien-être extraordinaire et un sentiment de plaisir intense qui montait en moi. Et c’est à ce moment que j’eus ma première éjaculation dans la main de Michel. Surpris par cet évènement, je m'étais arrêté de caresser Michel qui discrètement essuyait sa main dans mon drap. J’étais stupéfait et gêné. Toujours allongés cote à cote, Michel me demanda silencieusement de continuer à le caresser en lui faisant ce qu'il venait de me prodiguer. Ses lèvres me suçaient l’épaule. Je lui palpais son membre devenu très dur et je sentis jaillir sur ma main un jus chaud qui s'écoula par jets de son sexe sur ma main. Il me donna un pan de chemise pour m'essuyer. Il m'embrassa sur la joue, me dit merci puis retourna se coucher dans son lit. Cette expérience me parut bouleversante. Je découvrais que je produisais du sperme ! Je le découvrais comme les autres en l’expérimentant moi-même. Nous l'appelions notre "petit lait".
Certes, Michel était un peu plus âgé de quelques mois mais j’avais déjà constaté que l’épaisseur de son membre était moindre que le mien depuis que nous avions uriné côte à côte en nous passant la main sous les bourses.
Le lendemain nous avons fait comme si rien ne s'était passé et la journée se déroula en études, cours, repas... jusqu'au soir. En chemise, nous sommes allé nous laver les dents comme d'habitude, l'un près de l'autre au lavabo, il me demanda doucement si j'avais envie que l'on recommence. Je lui fis oui d'un signe de la tête.
La nuit suivante, j'avais déjà retiré moi-même ma chemise et le temps que tout le monde s'endorme me parut long. Mais silencieusement, Michel qui quitta rapidement sa chemise se glissa à nouveau dans mon lit et je sentis son corps se coller au mien et sa queue contre la mienne devenue toute dure. Il m'a fait ce deuxième soir jouir deux fois et moi aussi avant de rejoindre son lit.
Comme les deux derniers soirs il vint dans mon lit et nous commencions nos jeux silencieux. Collés l'un contre l'autre, je sentais sa respiration, il avait la peau très douce, et je me plaisais à le caresser. Lui, aimait palper mes fesses bien rondes et charnues. Nous nous sommes masturbé réciproquement, j'ai senti un baiser dans mon cou, je le lui rendis et on s'échangea une suite de baisers ou sa bouche trouva la mienne. J’avais déjà embrassé une fille sur la bouche mais je sus que c'étais là aussi comme mon vrai baiser. Très vite nous nous sommes aperçus que nos baisers attisaient nos envies et nos lèvres ne se quittaient plus. Sa langue s'insinuait dans ma bouche, la mienne ne restait pas inactive non plus. Il s’allongea. Nous étions nus.
Mais ce soir-là sa position changea. Je sentis qu'il se détachait de moi. Il se mit à bouger dans le lit. J'avais peur qu'il ne fasse du bruit et ne réveille un de nos camarades de chambre. Il se mit à l'envers de moi. Ai-je besoin d’expliquer ? J'avais ses cuisses devant mon visage. Je ne me doutais pas de ce qu'il voulait faire, je pensais qu'il voulait être plus près de mon sexe, puis soudain je senti sa bouche engloutir mon gland et le sucer. La chaleur intime, sa langue qui tournait autour de mon organe et l'aspiration qu'il m'appliquait ont fait que je ne résistai pas longtemps et j’éjaculai dans sa bouche. Ce qui ne l'empêcha pas de continuer. Avec sa main il me mit son sexe prés de ma bouche et je compris qu'il voulait que je lui fasse ce qu’il m’avait fait. Cette découverte fut torride. Je trouvais un réel plaisir à le sucer et je crois que lui aussi était satisfait parce que presque immédiatement j'ai senti son organe se contracter et son sperme jaillir dans ma bouche par deux, trois, quatre jets. Il explosait avant de se détendre. Je ne trouvais pas le gout très agréable mais pas désagréable non plus. Nous sommes restés dans cette position pendant une bonne partie de la nuit, et nous nous sommes fait jouir quatre fois. Nos bouches restaient près de nos sexes. Nous venions de découvrir une part seulement des plaisirs que peuvent se procurer les garçons entre eux.
Les jours ne se sont passés que dans l'attente de ces moments ou nous avions découvert ensemble ces plaisirs intenses. Il nous est arrivé lors de ballade alors que nous allions dans une clairière en apportant un ballon, de réussir à nous isoler des autres dans un fourré pour se sucer réciproquement. Cela ne nous empêchait pas de recommencer la nuit.
Avec beaucoup de naïveté j’appris par Michel que tous nos camarades produisaient plus ou moins de sperme et que la plupart le faisait discrètement gicler, le plus souvent sous la douche alors que je ne m’en étais pas encore rendu compte. Je me mis dès lors à les observer et je vis que cette petite opération était discrètement faite par certains sous les jets de la douche. Désormais, tous ayant découvert que j’avais perdu cette naïveté qui les faisait sourire et je pus participer à l’ambiance de notre chambre qui changea. Grâce à Michel tous pouvaient s’intéresser à mes organes et moi à ceux des mes autres camarades. Nous faisions des parties de fellation. On se suçait mutuellement ce qui les passionna vite et les fit gémir de plaisir. Bien sûr les filles restaient notre but de rêverie mais j'aimais être peloté par les mains de mes copains attirés par mes fesses charnues. Puis assez vite, ils ouvraient leurs lèvres sur mon sexe. Je n’attendais que cette succion assez souvent partagée. Michel qui m’avait initié restait mon préféré. Quand je partais en promenade, j'arrivais toujours à faire en sorte d'emmener un voisin de chambre se faire caresser par moi, juste pour lui prendre les petites boules en main et lui caresser le sexe en lui dégageant le gland. Le plus souvent il me le faisait aussi, puis saisi de désir il me suçait. Ma main en le masturbant lentement et longtemps le faisait gémir et couler ce que nous appelions pour rire « notre petit lait ».2 Le bus des plages et des nudistes
A la belle saison, nous avions des sorties récréatives. Dans le car appartenant à notre lycée privé, j’étais parmi les plus jeunes. Mais il y avait aussi des garçons de 16 à 18 ans. Les plages du Languedoc sont douces et nombreuses. Nous devions les connaître toutes.
Le vieux bus nous conduisait du phare de Palavas à l’Espiguette en passant par la route la plus proche des plages et s’arrêtait près de chacune d’elles pour nous donner le temps d’une baignade.
Les plus hardis prenaient les places assises. Les autres comme moi restaient debout dans la galerie centrale. Mais le bus nous serrait comme des sardines en boite ! Nous étions tous en slip de bain avec un petit sac de plage entre les pieds. Mes fesses bien rondes et bien épaisses de garçon fessu comme on le disait, attiraient de gentilles moqueries et des tapes amicales.
Je me trouvais au fond du bus. Pas tout à fait quand même ! Un gentil et grand garçon était derrière moi. Devant moi : un garçon de ma taille. Le bus nous secouait comme une salade.
Comme d’autres, j’étais coincé fortement entre les fesses du garçon de devant et le bas-ventre du grand garçon de derrière qui était écrasé tout au fond du car. Serrés ainsi les uns contre les autres, les secousses nous provoquèrent assez vite des sensations que l’on devine.
Les fesses du copain de devant m’excitaient malgré les épaisseurs des deux slips l'un contre l'autre, mais surtout je compris vite qu’un membre dur comme un bâton me frottait aussi les fesses. Le membre du grand garçon qui était derrière moi paraissait comme vouloir s’y coller. En fait, cela n’était pas possible. Je sentais sur mon cou le souffle de ce camarade excité. De sa main il était arrivé à baisser légèrement mon slip de bain. C’est ainsi que je compris qu’il avait libéré son membre qu’il avait positionné entre mes fesses et qui s’y frottait plus que jamais. L’arrêt du bus provoqua un mouvement de va-et-vient et je sentis sur mes fesses et dans mon slip un gros ruissèlement auquel je n’attendais pas.
Le bus se vida plus vite que ne s’était vidé l’organe du garçon. Mon organe à moi était visiblement très tendu. Mon slip montrait à l’arrière une humidité qui n'arrêtait pas de s’écouler le long de mes cuisses et d’y ruisseler. Je courus me jeter à l’eau. Mais certains avaient vu cette humidité suspecte ! Comment oublier çà ! J'en ai gardé un tel souvenir que j'ai repris plusieurs fois le bus dans les mêmes conditions et mon derrière dut encore ruisseler par l’excitation que j’offrais au dernier de la rangée !
Je connaissais le vers latin de Virgile : "Utroque clarescere pulchrum" (Il est beau de briller des deux côtés). J’en fis mon adage personnel.
Michel a rit de ma petite aventure.3 Vacances dans le Cher
Déjà aux vacances de Pâques, j’avais connu quelques petites expériences érotiques mais un peu cruelles. C’était au bord d’une rivière du Cher qui porte à une lettre près le nom du « Grand Meaulnes », le héros d’Alain Fournier et près de son village même où j’avais de la famille. Nous étions trois garçons et deux filles dans un coin de baignade tranquille.
Nous étions cinq, d’âges voisins : (3 garçons et 2 filles) à nous baigner en rivière. On pouvait même plonger. Une des 3 filles (la plus jolie) plongeait ; mais son maillot de bain descendait à chaque fois. Elle le remontait. J'attendais toujours ça ! Puis, en colère, elle a décidé de plonger nue. Elle devait être un peu plus âgée que moi ; guère plus. Moi, j'avais ce jour là un slip de bain blanc en coton et non un vrai maillot !
Je n’ai pas tardé en la regardant à avoir une trique de bambou qui déformait mon slip blanc ! Tous riaient de me voir ainsi. Le plongeuse aussi mais elle semblait plutôt contente de me voir ainsi. Sa copine H. regardait cela avec étonnement. J'étais tellement excité en regardant ses fesses de la plongeuse que par dépit j'ai quitté aussi mon slip qui ne cachait d’ailleurs presque plus rien tant la rigidité de mon membre était forte. Tous sont venus voir "ça" ! J'ai dit à la "plongeuse" que je voulais la toucher "juste un peu" ! "Oh seulement toucher juste un peu son derrière !". Elle a refusé en riant. Devant tous on peut la comprendre. Alors, ayant déjà quitté totalement mon slip je me suis masturbé de rage. Devant tous ! Ils savaient tous ce que je faisais mais aucun n’avait vu ce geste vraiment "osé" devant eux et surtout ce jus, ce "petit lait" comme nous disions, qui n'a pas manqué de jaillir de cette trique. Puis j'ai eu honte. Je suis allé me tremper, m'essuyer et j'ai remis mon slip et mon short. La "plongeuse" remit son maillot. L'ambiance était cassée. Par ma faute. Les trois garçons partirent les premiers. La plongeuse et sa copine restèrent avec moi. Elle me reprocha mon attitude. Mais cette fille plutôt gentille était compréhensive et elle me proposa de venir demain la regarder toute nue "et pour moi seul" dans un coin de campagne un peu en amont de là et que nous connaissions ainsi que sa copine. Mais elle posait pour condition de me déshabiller entièrement elle-même et de me donner une fessée comme le méritait mon exhibition effrontée ! J’étais étonné mais j’acceptais car la perspective de la voir nue m’excitait au plus haut point même devant sa copine au visage ingrat. J’attendis ce lendemain avec impatience.
À l’heure de ce rendez-vous étrange nous avons tout d’abord bavardé tous les trois avec amitié. Elle se laissa embrasser puis sans mot dire et comme prévu, elle quitta son seul vêtement d’été, c'est-à-dire sa robe en gardant soutien-gorge et culotte. Mon excitation fut immédiate mais sa consigne avait été de me déshabiller elle-même. Elle descendit alors sa culotte et dégrafa son soutien-gorge. Excité follement j’étais maintenant à ses pieds pour montrer à quel point je la désirais. Elle s'est laissée tout de suite touchée et embrassée sur tout le corps. J’essayai de la serrer contre moi. Mais, avec un sourire moqueur, elle arrêta le jeu pour lui laisser le droit de me sanctionner comme convenu avec la promesse de se laisser caressée à nouveau après mon châtiment. Excité comme je l’étais j’acceptai tout et tout de suite mais elle me fit relever. Elle qui avait exigé de me déshabiller elle-même. Elle commença lentement par dégrafer mon short. Puis m’ôta avec plus de lenteur encore mon tee-shirt. Mon slip léger ne pouvait plus cacher la solide érection que j’avais. Quand elle voulu descendre mon slip que mon membre étirait, ma verge sauta par-dessus l’élastique vers elle. J’étais nu maintenant devant elle. Son sourire était encore plus moqueur. J’étais tremblant de désir. Me poussant vers un petit talus proche, au dessus d'un fossé, elle m’invita à y prendre position en y mettant mes deux mains. Cette position découvrait mon derrière qui, on le sait était très potelé. Elle exigea de me voir bien écarter les cuisses. Alors, comme je le devinais aux mouvements de son corps joli et chaud contre le mien, elle se mit à me fesser. La main s’abattit vivement sur l’une des fesses, puis sur l’autre. La fessée à la main venait de commencer. Elle la fit durer jusque au moment ou son geste la fatigua. Un peu rude au début, ce supplice me devenait agréable et mon excitation était aussi vive. Etrangement, ma verge semblait prendre encore plus de raideur. Ma croupe juvénile étalait impudiquement ma nudité. Ma chair était soumise à ses claques de la main. Je me tortillais des reins et avec l’écartement de mes cuisses révélaient le plus secret de mon intimité devant sa copine qui ne manquait rien au spectacle que j'offrais et semblait être venue pour ça. Mes parties pendantes se balançaient visiblement ce qui sembla exciter la vicieuse copine venue "pour voir". En fait je ressentais plus d’excitation que de souffrance. J’avais découvert que, passé un certain degré de faible douleur, je pouvais alors m’abandonner à sa volonté et y prendre du plaisir. Et, tendant ma croupe nue en guise d’offrande, je laissais les claques se muer en une étrange douceur. La voyeuse avait passé sa main dans sa culotte sans gêne en me regardant. Mais son plaisir demeura inachevé, car la danse érotique de mon corps s'arrêta. J’étais tout nu et agenouillé devant ma fesseuse, embrassant longuement son derrière dodu qu'elle m'offrait comme je le lui avais demandé. Elle semblait y prendre un vif plaisir. Ses fesses rondes me rendaient un peu fou. Ma bouche et ma langue semblaient la dévorer. Alors elle se tourna et ouvrant ses cuisses, m’invita à caresser de même son entrejambe ce que je fis goulument ! Elle gémissait de plaisir et me répéta longtemps sous ma caresse : " Oh je t’aime je t’aime ! ". J'eus le temps de voir les gestes de la voyeuse qui la main dans sa culotte, tentait de calmer manuellement son excitation. Mon aimable "tortionnaire" sa coucha par ferre très de moi et me caressa le sexe, passa la main sur mon derrière chauffé par sa fessée et l’embrassa longuement. Ce langoureux baiser augmenta mon excitation. Sa main caressait mon membre. L’excitation conjointe de la fessée et de ses caresses me fit jaillir une nouvelle fois ma semence loin devant elle. Mes jets s’écrasaient sur le sol. Elle était épatée de me voir fonctionner ainsi, par l'effet de ses seuls baisers sur la bouche et sur le corps. La plus étonnée me parue être sa copine qui ayant reçu quelques gouttes de sperme en fut dépitée et ferma son visage comme une porte. Ma fesseuse très satisfaite me demanda dans l’oreille d’être gentil avec sa camarade. Je compris. Me tournant vers elle je me mis à caresser ses fesses et son entrejambe. Elle semblait si heureuse qu’elle en devint presque jolie. Elle se dénuda. Nous étions assis sur une large pierre et ses caresses devenaient plus précises et les miennes aussi, mais j’étais fatigué et j’allai me lever. Ses mains me saisirent les jambes et ce qui ressemblait à une demande qui m’excita plus encore. J’avais encore mes doigts dans son entrejambe. C’est alors que sans honte elle se saisit de mon membre, l’engloutit dans sa bouche et je me suis laissé aller à ses succions maladroites pour lui livrer mon ultime éjaculation.
La jolie fesseuse, qui décidemment avait pris le goût de me voir soumis et fessé me proposa un rendez-vous dans ce lieu qui était un peu en amont de notre rivière de notre première rencontre. Le surlendemain. J'acceptai malgré mes fesses rougies et que mon slip de coton semblait adoucir. Décidemment j'avais rencontré une jolie tigresse ! Mais cela me plaisait étrangement. Bien sûr sa copine "voyeuse" devait être là. Je sus plus tard que le voyeurisme faisait partie de l'érotisme élaboré. Je complais d'ailleurs sur elle pour me calmer une dernière érection, en raison de son efficace gloutonnerie. Et puis nos vacances étaient courtes. Je ne pourrais désormais contempler que les fesses de mes copains d'internat et la succion de leurs bouches. Le jour attendu arriva. Son espoir me créait des érections fréquentes mais et je m'étais abstenu de masturbation. Elle était là. Venue avant moi vêtues avec la copine d'un maillot charmant. Je n'avais toujours qu'un slip de cotonnade blanche et en retirant mon short cala les fit rire d'autant que plus étroit que le précédent c'était une partie de mon organe qui dépassait de son élastique. Je l'ai quitté tout de suite. Il était inutile et ne cachait rien.
Nous nous sommes embrassés et je sentis sa main caresser l'organe légèrement ainsi que mes boules de testicules. Je gémissais déjà mais elle m'interdit d'aller au-delà. Me voir ainsi excité l'excitait elle-même ! Elle me chuchota qu'elle voulait devenir à nouveau la maitresse de mon derrière ! Et elle ajouta "Tu m'obéiras en tout! Debout, couché et à genoux !" J'acceptais tout. Appuyé contre une pierre que la mousse adoucissait elle me commanda d'écarter les cuisses. Je sentis qu'elle avait saisi mes boules et j'eux mal au point de crier. La "voyeuse" semblait s'en réjouir par les petits rires qu'elle ne dissimilait pas. C'était "une cruelle" alors que ma fesseuse caressa tout de suite après ces petits objets si sensibles. Elle passait le doigt pour calmer la douleur qui avait été fulgurante.
- Tu vois, dit-elle à sa copine, c'est ce que les garçons ont de plus sensible !
- Je pourrais les lui toucher si tu veux bien, rien que pour savoir ?
- Oui mais caresses-les ! Sans les serrer, promis !
Elle promit, elle serra sans douleur puis proposa de me "toucher" aussi les mamelons. La fesseuse fut intéresser par le geste et me fit retourner vers elles. Les pincements étaient douloureux mais sans rop. Je criai surtout pour exciter leurs désirs. Puis il fallu passer à la fessée. Commença alors une fessée qu'elle promit "très rude". Elle le fut tout au début puis elle devint un exercice érotique que je ressentis comme étrange et pourtant elles étaient deux à me l'administrer !
- Arrêtons-nous dit la jolie fille, elles sont trop rouges
- Oui! Dis-je je vais faire sortir mon "petit lait"! J'en ai ai trop besoin j'y tiens plus!- Mais c'est nous qui allons te traire comme une brebis ! Ma copine aussi.
M'étant mis maintenant sur le dos mon membre n'avait rien d'un pis de brebis. Elles admirèrent sa longueur et sa rigidité. La jolie fille le caressa avec douceur. Sa copine me tenait les boules sans les serrer. Je gémissais doucement. Je leur disais parfois d'arrêter leur manœuvre. Sa copine avait entrepris de me caresser avidement les cuisses.
- Avant que tu ne jouisses caresse-moi là, me dit la jolie fille, passe-moi ta langue ici me dit elle, comme l'autre jour. Je vais écarter mes cuisses sur ta bouche, j'ai vu ça dans un petit film interdit. Ma copine te branlera. Je compris. Elle sut habilement à se positionner et je commençai à lui lécher cette partie sensible des filles. Mes deux mains caressaient ses fesses. Elle ne tarda pas à gémir avec une force surprenante alors que je sentais mon membre absorbé par la bouche de sa copine. Le temps fit assez bref pour arriver l'un et l'autre à la jouissance totale !
Nous nous sommes assis tous les trois avec cet espoir que le désir allait vite nous redonner de la vigueur quand nous entendîmes cille un craquement de branches. Même tout nu je me suis précipité vers l'endroit d'où venait ce bruit et j'eux le temps de voir et même de compter quatre garçons dont les deux que j'avais vu lors de notre première rencontre. L'un d'entre eux voulant se remonter sin slip tomba et eut quelque peine à se relever. Etant nu je renonçai à les poursuivre et je me mis à les injurier.
Ce sont mes injures qui firent comprendre aux filles qu'elles devaient se rhabiller à la hâte. Ce que je fis aussi.- Les vacances dans le Cher étaient terminées… mais comment !
4 La Grande Motte
Ceux qui connaissent La Grande Motte même par carte postale savent que les plus nombreux immeubles ont une forme pyramidale.
Presque tous ont des balcons voire des terrasses. Leur forme même permet l’intimité. Il y existe un « nudisme de balcons » qui semblerait impossible ou incongru ailleurs. Les « pyramides » sont suffisamment séparées mais une jumelle ou une longue-vue parfois permettent l’indiscrétion. Qu’importe. On ne connait que rarement l’indiscret dans cette cité balnéaire qui dépasse les 120 000 habitants en été.
a) Quelques mois plus tard, les " grandes vacances" me firent connaître d’autres
délires. J’étais puceau comme Michel à un âge bien jeune que je n’ose révéler ici. Pendant les vacances, je le rencontrais encore.
J’étais en vacances à la Grande Motte avec mes parents et des couples amis. Mon père ne venait de Paris que le week-end par l’avion qui le conduisait à Montpellier. C’est un taxi qui l’amenait jusqu’à la villa. Nous étions tous naturistes et notre villa de vacances où nous invitions des amis était à quelques encablures de la Grande-Motte. Nous étions tous naturistes. La plage naturiste était toute proche.
Les parents de Michel avait un appartement presqu'au dernier étage de l'une de ces pyramides assez proche du port. Nous allions sur les plages et notre bonheur passait vite par la recherche d’un endroit discret pour nous caresser mutuellement comme il me l’avait appris.Avant d’entrer dans la maison et selon une organisation voulue par ma mère tous devaient revêtir un short et un tee-shirt avant de monter sur les terrasses de la maison. Tous, sauf moi. Moi mais aussi Michel quand il venait chez nous ce qui était fréquent.
Ma mère, (belle femme d’ailleurs) aimait me voir nu. Elle était fière de mon corps et m’encourageait à rester ainsi, même sur les terrasses de la maison qui était abritées du soleil par des toiles dont on changeait la position. Je ne devais revêtir un short qu’à l’intérieur de la maison pour les repas. Quand j’invitais Michel que ma mère trouvait aussi joli garçon que moi, c’était pour lui le même régime si l’on peut dire auquel il se prêtait volontiers. Deux garçons nus sur les terrasses qui entouraient la villa attiraient tous les regards. Mère devaient aimer les éphèbes !
Je n’avais qu’une légère pilosité très blonde au dessus du pénis. C’était en fait peu visible. Et ma chère mère me trouvait très joli ainsi. Elle aimait le bronzage uniforme et pensait que le nudisme intégral précoce éloignait les mauvaises pensées et les actes impudiques qu'elles génèrent. Je n'étais pas assez sot pour demander une explication plus claire de ses termes. Nous pratiquions le naturisme depuis que j'étais enfant. J'étais nudiste même en sortant de la plage où j’étais le seul (avec assez souvent Michel) à rester nu sur la terrasse par autorisation de ma mère. Sur la terrasse seulement ! Car avant d’entrer dans la maison je devais revêtir un short d'étoffe synthétique légère.
Mes fesses attiraient des regards tant sur la plage qu’à la maison mais aussi les frôlements plus ou moins discrets des mains des hommes amis de la famille et invités. Finalement cela m’amusait mais je n’encourageais pas ces gestes plus ou moins bien cachés.
Ma mère avait invité pour deux semaines, une lointaine cousine au visage peu amène qui ne parlait presque jamais et qu’on voyait peu. Sur la terrasse, elle portait sur moi et aussi sur Michel quand ce dernier était là, des regards étranges et je ne compris pas si elle aimait ou non ces éphèbes nus que ma mère aimait gentiment exposer aux yeux de tous.
J’étais - comme Michel- un joli garçon blond, on n’hésitait pas à le dire sans aucune gène malgré notre peau quasiment féminine qui ravissait ma mère ; mais, à la différence de Michel j’étais « un garçon très bien monté et très fessu » comme tous le disaient sans discrétion. J’étais en effet doté ainsi que je l’ai déjà dit, d’un organe de devant assez long et volumineux pour mon âge avec seulement un soupçon de pilosité à dessus d’une longue verge. Mes fesses joufflues ainsi qu’une peau de fille assortie d’un tel organe pouvaient certes étonner mais plaisaient aussi. Mes fesses joufflues étaient une caractéristique qui me passera après trois à quatre années en grandissant encore ! Seul mon organe viril restera aussi dimensionné.
Ma mère ne m’autorisait la baignade que le matin et après 15 heures (après la digestion disait-elle !). Je restais alors allongé sur le sable, fasciné par les filles qui passaient ... nues évidemment. Mon regard allait au-delà du livre ouvert sous mes yeux. Leur fesses surtout me faisaient naître de fortes érections. Allongé sur le ventre je creusais même un peu le sable pour y loger plus confortablement mon organe plus gros que celui de bien des hommes. J’éjaculais souvent spontanément ou par une très discrète reptation du ventre en regardant le derrière des filles. Aujourd’hui encore, je suis surpris non par l’abondance de sperme que je ne pouvais juger mais par le nombre d’éjaculations qui me venait ! Il est vrai qu’il en était de même dans le pensionnat où je me trouvais avec trois camarades presque aussi souvent excités et aux nombreuses éjaculations provoquaient nos nudités ou leurs excitations. Le spectacle de la plage nudiste m’excitait plus fortement que la nudité même la plus provocante de mes camarades d’internat. Je courrais me tremper dans la mer après chacune de mes éjaculations. Il est évident que ces jolies filles m’auraient trouvé trop jeune pour accepter mes avances quand j’avais quelques hardiesses maladroites pour les aborder dans les intentions assez évidentes et difficiles à cacher..
Les fesses des filles surtout me donnaient des visions sensuelles telles, que j’en arrivais à éjaculer spontanément sans me toucher. Mon ventre ruisselait dans son jus et je courais vite me tremper pour noyer ce sperme dans les bonnes eaux de la mer.
Mais à cet âge on recharge rapidement ses hormones et ses désirs et je pouvais retrouver assez rapidement une nouvelle érection.
Les filles préféraient les garçons plus âgés et ne prêtaient pas attention au jeune adolescent que j’étais.
J’étais en effet doté ainsi que je l’ai déjà dit, d’un organe de devant assez long et volumineux pour mon âge avec seulement un soupçon de pilosité à dessus d’une longue verge. Mes fesses joufflues ainsi qu’une peau de fille assortie d’un tel organe pouvaient certes étonner mais plaisaient aussi. Mes fesses joufflues étaient une caractéristique qui me passera après trois à quatre années en grandissant encore ! Seul mon organe viril restera fortement dimensionné.
Malgré mon visage encadré de cheveux très blonds et que tous trouvaient jolis, je n’avais pas encore la sveltesse que je devais acquérir plus tard. J’avais surtout de bonnes fesses rondes. Disons tout de même que j’étais un garçon bien fessu. C’est un de nos amis qui avait employé cette expression qui faisait sourire. Si je n’attirais pas encore les filles, par contre les hommes de notre entourage semblaient beaucoup apprécier ce physique qui était appelé à changer et particulièrement ce joli derrière qui était le plus souvent dénudé…
Ces petites caresses que je ne refusais pas quand il s’agissait de nos amis invités se faisaient sur la terrasse de la maison, qu'abritaient des bâches de toile écrue que l’on fermait de multiples façons par un habile mécanisme.
Aujourd’hui encore, je suis surpris non par l’abondance de sperme que je ne pouvais juger mais par le nombre d’éjaculations qui me venait ! Il est vrai qu’il en était de même dans le pensionnat où je me trouvais avec trois camarades presque aussi souvent excités et aux nombreuses éjaculations provoquaient nos nudités ou leurs excitations. Le spectacle de la plage nudiste m’excitait plus fortement que la nudité même la plus provocante de mes camarades d’internat. Je courrais me tremper dans la mer après chacune de mes éjaculations. Il est évident que ces jolies filles m’auraient trouvé trop jeune pour accepter mes avances quand j’avais quelques hardiesses maladroites pour les aborder dans les intentions assez évidentes et difficiles à cacher.
Par contre ce sont des hommes de tous âges qui souvent venaient s’allonger à mon côté. Ils ne disaient que quelques mots à voix basses en me désignant les dunes mais leurs soupirs étaient autant d’invitations muettes. Voulaient-ils m’y entrainer pour me branler comme le faisaient mes copains d’internat en désignant la cabine de douche ? Pour marquer mon refus je me tournais à l’opposé de ces effrontés, sans me rendre compte que par cette attitude, je présentais mes fesses charnues de manière plus évidente ce qui ne pouvait que les exciter plus encore. Leurs gémissements et le râle qui accompagnait la fin de leurs masturbations cachées par leurs serviettes m’étonnaient quand même. Je compris que certains se servaient de petits appareils de photo numériques. Ils prenaient un souvenir de mon anatomie dont ils pourraient user à leur guise. Aucun n’osa toutefois poser une main indiscrète qui aurait été vue assez sévèrement par les autres plagistes ! Mon silence et mon attitude les décourageaient. Je n’aimais pas ces hommages obscènes.
Les fesses des filles surtout me donnaient des visions sensuelles telles, que j’en arrivais à éjaculer spontanément sans me toucher. Mon ventre ruisselait dans son jus et je courais vite me tremper pour noyer ce sperme dans les bonnes eaux de la mer.
Mais à cet âge on recharge rapidement ses hormones et ses désirs et je pouvais retrouver assez rapidement une nouvelle érection.
Les filles préféraient les garçons plus âgés et ne prêtaient pas attention au jeune ado que j’étais.Une seule fois deux filles bien moins jolies acceptèrent de faire avec moi une petite conversation où malgré ma timidité je leur avais déclaré mon désir après les avoir regardées passer plusieurs fois devant moi de manière provocante. Elles étaient très vulgaires mais moi j’étais très excité. Sans doute avaient-elles deviné l’effet qu’elles me produisaient. Mon désir mal contenu devait les amuser et mon aveu les faisait sourire alors que je dissimulais mal mon membre raidi par ma serviette.
Alors pour vérifier les effets de ce désir que je leur déclare tout en le cachant difficilement elles me proposent de me suivre derrière les dunes. Je marche devant elles. Elles me suivent et arrivés derrière la dune me disent en souriant qu’ayant eu le temps de regarder mon derrière et qu’elles sont surprises par la rotondité de mes fesses et m’en complimente avec sans doute quelque ironie. L’une d’elles soulève hardiment ma serviette. Mon gros membre développé par une très forte érection les surprend et elles le disent sans détour en riant et en disant que je suis très confortablement doté sur mes deux côtés mais que je suis très beau ainsi.
- C’est vrai dit sa camarade il est trop joli comme ça ! J’aime le regarder devant et derrière.
Finalement elle illustrait bien mon adage Utroque clarescere pulchrum". (je brille des deux côtés) que je m’étais attribué dans le bus des plages.
Nous nous mettons à genoux sur le sable. Elles touchent du doigt mon membre érigé qui vibre. Elles caressent mes fesses qu’elles trouvent un peu épaisses. Un peu trop ! Mais jolies ! Elles semblent adorer la docilité qui est la mienne à me laisser palper et déplacer de tous les côtés. Elles me palpent les fesses et elles jouent à les claquer de la main. Elles me palpent les organes pendants et font rouler mes boules dans leurs doigts. Puis c’est avec quelques rudesses qu’elles me claquent les fesses. Les claquements deviennent sonores. J’ai mal. Je le leur dis. Mais elles rient de moi, victime consentante. L’une d’elles se lève. Elle se place hardiment devant moi en écartant largement ses cuisses devant mon visage. Elle me montre ce qu’elle désire en passant ses deux doigts qui écartent son organe. Elle me montre comment la faire jouir en passant aussi mes doigts puis ma langue sur un petit organe qu’elle découvre devant moi. Je savais cela pour l’avoir vu dans quelques revues illustrées interdites aux garçons de mon âge, mais ici je le découvrais et je m’y applique ! La fille qui l’accompagne m’invite à me branler, ce que je commence à faire, puis elle préfère prendre mon organe entre ses doigts. La fille que je suce gémit bruyamment pendant plusieurs minutes puis se tait brusquement ; elle semble repue. Sa compagne me suce le bout de ma bite devenue rigide et qu’elle trouve très grosse. Mais déjà trop excité elle me fait éclater mon jus trop vite. Mon sperme jaillit fortement dans le sable et un peu sur les doigts de la branleuse. Cette dernière doit ressentir de la frustration car elle reprend la fessée sur mon derrière avec une force qui me semble vengeresse. Elle me fait très mal je le leur dis mais je n’ose pas m’éloigner. Finalement, par une sensation totalement inconnue de moi jusqu’à présent cette douleur qui doit me faire rougir les fesses me provoque une nouvelle érection. Nous sommes tous étonnées. " Regarde, dit la branleuse devenue fesseuse, il bande quand on le fesse. Et même plus fort ! Il doit aimer ça ! " En fait j’ai mal et je supplie d’arrêter le supplice. Je suis étonné de cette érection et de la sensation qui est la mienne. Elle continue. Brusquement je sens venir la sensation qui précède l’éjaculation. Je pousse un râle dont on ignore s’il résulte du plaisir ou de la douleur. Mon organe vibre mais rien ne sort. " Je suis sûre qu’il a juté quand j’ais continué à me fesser, dit la fille ". Je ris maintenant et sans doute déçue elle dit : " Attendons qu’il se recharge les couilles. Ce garçon est jeune et doit retrouver vite son jus ". Toujours en riant nous avons couru vers la mer. Les bains nous redonnaient comme prévu de la vigueur et un renouveau de désirs.Un quart d’heure plus tard la fesseuse proposa de revenir dans la dune pour jouir à nouveau, car ces demoiselles devaient terminer leurs vacances le lendemain. J’en fus si heureux que j’embrassai ses petits seins en sortant de l’eau. Je reprenais ma serviette pour dissimuler mon érection en traversant la plage. La fesseuse aussi avait pris sa serviette mais j’étais un peu étonné de voir qu’elle l’avait plongé dans l’eau. Arrivé derrière la dune sa compagne tente de me sucer le bout de la bite devenue terriblement rigide mais la fesseuse veut me garder pour elle. Soumis. À genoux ! Les fesses bien présentées. Elle les trouve si belles ! Et c’est elle qui veut me faire éclater mon jus. À sa manière. Pas trop vite. Mon sperme doit jaillir quand elle le voudra. Mais par la fessée. Elle l’a décidé ainsi ! Je suis à genoux et sa compagne debout écarte ses cuisses sur mon visage pour que je la fasse jouir. Elle jouit vite. Je bande monstrueusement. C’est alors que je sens la fessée à laquelle je m’attends. Sévère. Mais cela ne me déplait pas. La fesseuse me promet de me sucer. Mais après. Mais c’est alors que la fessée devient plus douloureuse. Dès le troisième coup ma verge érigée envoie plusieurs jets de sperme dont un s’écrase sur elle. Comme promis elle prend immédiatement ma verge dans sa bouche. La sensation est telle que j’éjacule aussi deux fois.
- Si tu aime qu’on te tape le cul on peut te faire ça dit Carmen. On te donnera des fessées Tu auras mal mais on promet de te faire jouir comme jamais tu as pu jouir. On peut faire souffrir les garçons mais pour les faire jouir plus fort en même temps et surtout après ! Ca t’intéresse ? Alors viens encore avec nous. Nous aimons trop bien les jolis garçons.
Mais finalement j’étais épuisé et nous nous sommes séparés.
J’avais fait la connaissance d'un groupe de garçons très délurés, un peu vulgaires mais très aimables. Dès notre première rencontre nous nous sommes regroupés sur la plage nudiste et notre conversation, comme s'il s'agissait d'un concours de blagues, devint de plus en plus érotique. Il est vrai que nous regardions passer des filles et des garçons nus comme nous. "Quel culs !" disait le plus grand de la bande. Cette bande était formée d'un groupe de cinq garçons, et comme moi, très excités, nous cachions nos membres raidis dans nos serviettes. Seul le plus joli, étendu à plat ventre laissait admirer ses fesses frémissantes et adorablement joufflues.Ils m’invitèrent à venir avec eux derrière les dunes qui devaient nous cacher et qu’ils semblaient les seuls à connaître. Ils ne firent pas comme je le prévoyais une séance de masturbation qui aurait provisoirement soulagé nos tensions mais une torride séance de sodomie. En fait un seul garçon, le plus jeune, celui que j'ai décrit, très joli et assez efféminé était la femelle de tous. C'était lui, bien sûr, qui allongé à plat ventre nous avait déjà portés au plus haut de notre excitation. Connaissant le prénom de chacun je savais qu'on l'appelait Gilou. Ce dernier ne semblait attendre que cela et avait pris déjà sur la plage, des positions qui mettaient bien en valeur ses cuisses et ses richesses fessières qui convenons-en, étaient des plus adorables. Les cinq garçons avaient environ mon âge mais l’un d'entre-eux était plus grand et très beau. Son corps n’avait pas plus de pilosité que celui d’une fille. Son « organe n’était pas très grand mais bien monté. Ses testicules enveloppés dans une peau fine ressemblaient à un sac arrondi comme une grosse balle de tennis. Gilou se laissait d'abord embrasser longuement. Il recevait des caresses manuelles qui le faisaient gémir. Moi même lui passai ma main entre les cuisses. Par contre j'avais déjà horreur des baisers entre garçons.
Gilou s'était allongé sur le ventre. Ses fesses étaient mordillées par tous puis bien ouvertes. Je contemplais cette béance et le désir montait en moi. Le "grand" s'installa le premier comme par droit d’aînesse. Je regardais son très beau cul sans pilosité qui m’excitait. Mais son plaisir lui inspirait des ronflements de chat. Il jouit longtemps puis poussa un gémissement plus fort et se retira. Tous pénétrèrent successivement le cul du petit Gilou, bien ouvert qui semblait à lui seul devenir le réceptacle de toutes les voluptés parmi les plus excitantes possibles. L’excitation montait en moi à chaque changement de partenaires. La plupart était de beaux garçons. Leurs positions, leurs fesses qu'ils montraient volontiers et même leur tiges très tendues nous excitaient tous et moi particulièrement qui n'avais jamais vu cela même dans les "vidéos" érotiques.
Gilou, le joli garçon efféminé qui se faisait chevaucher dans toutes les positions que l'on désirait, semblait terriblement jouir de son rôle et fier de cet exploit. La séance durait. Le "grand", le premier, qui était aussi le plus ardent eut un nouveau désir et reprit sa cavalcade érotique. J'assistais donc à un très long spectacle et mon excitation était à son comble. Le grand avec ses testicules réunis en boule semblaient avoir de forts besoins sexuels. Il était beau de tous les côtés !
Je n’avais jamais fait cela et au bout de mes désirs j’allais me masturber tant la tension de mes sens étaient devenue terrible.
C'est alors que le "grand garçon", ayant terminé sa seconde éjaculation, m’invita à rendre part à cet exercice après lui. Je lui avais déjà confié ma totale inexpérience en ce domaine et je pris ma place en bon dernier et devant tous, contre les fesses du mignon. Mon membre était tendu depuis longtemps, m ais je savais tout ce qui est passible de faire au cul d'un joli garçon pour avoir assisté à six chevauchées successives. J'allais enfin pénétrer à mon tour le mignon.
J'entendis les murmures qui accompagnaient l'écartement de mes cuisses et les commentaires sur mes fesses qui étaient lisses et avouons-le, bien faites pour inspirer bien des désirs, surtout avec l'écartement que je présentais à tous. Le trou intime du jeune mignon s'ouvrait largement pour moi. Il était rempli du sperme des cinq autres garçons et même de six éjaculations !
Mon membre tendu à l'extrême depuis longtemps glissa aisément et sans doute trop prestement en plongeant dans ce trou intime garni de tant d'éjaculations. Cette seule pénétration rendue trop vive par l'impatience fit sortir d’emblée, une grosse coulée de l’abondante semence que les autres avaient éjaculée avant. Cette abondante coulée sans doute bien visible ruissela sous mes cuisses et sans doute jusqu'au sol d'herbes sèches mais douces. Elle déclencha les rires du groupe de garçon très attentifs à mon exercice. Je connu là un plaisir nouveau mais très vif. C’était une première pour moi ! Tous le savaient. Les garçons s'approchaient au plus près pour contempler le fait et s’amusèrent à me caresser les fesses pendant mon intromission. L'un d'eux introduisit même son doigt dans mon anus et le remua doucement. Ce geste et la longue attente devant mes nouveaux copains, toutes ces sensations cumulées furent si fortes qu’elles me firent éjaculer vite mais aussi "recharger" presque aussi vite mon désir après ma première éjaculation. Le mignon changeait un peu la position de ses fesses ce qui doubla mon excitation. Sans avoir à ressortir mon membre de ses fesses je pus jouir une seconde fois par une éjaculation qui dura plus encore que la première et m'excita jusqu’à perdre le souffle. Je restai ainsi longtemps en lui. C'est alors que deux garçons m'écartèrent les fesses et c’est surtout pour éviter une intromission sauvage de l'un d'eux dans mon intimité que je sortis du derrière du mignon. Ce dernier se retourna légèrement vers moi en souriant, et remuant un peu ses fesses je reçus encore sur le ventre une nouvelle coulée laiteuse. Je suis resté quelques minutes étendu sur le sable devant tous, le ventre chargé de ce nouveau flot de sperme où se mêlait le mien certes, mais surtout celui des cinq autres garçons et de la double éjaculation du grand. La serviette sur l’épaule, nous avons couru vers la mer pour nous laver. Ils me promirent de m’inviter à nouveau. Le "grand" me prit à part et me dit "tu vois le copain que tu as enc... tout à l'heure et qu'on appelle Gilou, c'est un chic type malgré ses manières de pédé ! Après-demain on se revoit, si tu veux venir avec nous au même endroit, même heure. Là il nous fera sa séance ou il nous sucera. Il aime sucer aussi. Autant de fois qu'on veut. Viens si tu veux." Je promis de revenir.4 Le supermarché des plagistes.
Quelques jours plus tard, le matin, je dus accompagner ma mère et l'épouse de l'un de nos amis en voiture vers un supermarché assez proche. La clientèle était composée de vacanciers des plages. Certes, il fallait se vêtir au moins d’un tee-shirt et d’un short. Celui que je portais pouvait être aussi un maillot de bain et son tissu était léger. La plupart des jeunes vacanciers étaient ainsi légèrement vêtus. Le supermarché des plagistes en quelque sorte, car la tenue des clients était des plus légère. Guère moins pour certains que sur une plage. Arrivé là, j’ai préféré les attendre en restant dans la galerie marchande plus attrayante. Un petit besoin impérieux me conduisit vers les toilettes.
J’étais seul ce que je souhaitais car devant l’urinoir je devais baisser totalement mon "shorty" très léger en tissu synthétique qui était plutôt un maillot en couleur et sans braguette. Pour me servir de l’urinoir je devais donc dégager mes fesses entièrement. C’est alors que m’étant soulagé, mes fesses charnues étant encore à l’air, deux jeunes hommes vinrent se placer à mon côté et ouvrirent leurs braguettes pour se soulager. Ils bavardaient tous deux. Mais leurs regards se fixèrent vite sur mes fesses joufflues. J’étais nudiste mais je savais comment me tenir !
Ils m’observaient. Mieux encore ils se tournèrent vers moi en souriant et en faisant le geste de la masturbation. Par effronterie et presque par l’impatience d’avoir été observé, je fis de même pendant quelques secondes. Ils avaient de grosses bites mais s’étonnaient de l’épaisseur de mes organes et le disaient aimablement. Moi je ne bandais pas mais comme je l’ai dit mes organes génitaux volumineux devaient les surprendre pour mon âge. Je le savais et les montrer à ces hommes était mon insolente réponse !
Nous n’étions heureusement que nous trois dans ces toilettes.
Ces hommes, nullement vexés firent un sourire admiratif mais gentil. Ils m’invitèrent à entrer avec eux dans une cabine. J’ai hésité. Ils insistèrent en me disant que nous pourrions tous les trois pratiquer cette petite affaire somme toute banale et que je devais faire souvent moi-même seul ou avec des camarades, disaient-ils. Ils me promirent de me caresser délicatement sans me faire le moindre bobo ! Finalement ils avaient l’air gentil et je me sentis un peu fier de l’admiration qu’ils exprimaient à mon égard.
Ils ouvrirent une des cabines. C’était la plus grande. Celle réservée en principe aux handicapés. Je les suivis. Ils furent nus presque tout de suite. Excités, leur organe était bien raide. « Nous sommes très doux. On ne te fera rien que tu puisses refuser » dirent-ils. J’ai baissé timidement mon short très léger. L’un des deux vint me le quitter totalement ainsi que mon tee-shirt alors que sont camarade me caressait déjà. J’aimais leur attitude et mon organe devint aussi raide que le leur. Plus gros même semble-t-il ce qui les mettait dans une gentille admiration. Ils étaient accroupis devant moi et leurs bouches absorbaient mon gland mais sans trop le sucer. L’un des deux s’assit sur la cuvette refermée et m’invita sur ses genoux. Il m’écarta les cuisses pour permettre à son ami de s’accroupir et de passer sa langue entre mes testicules et ma verge puis dans mon trou intime. Son habileté de la langue me faisait gémir de plaisir. Ils le faisaient pour le plaisir de m’exciter. M’étant mis debout ils me demandèrent de me retourner pour leur permettre de caresser mes fesses à tour de rôle. En fait c’était encore avec leurs langues qu’ils me caressaient. Cela m’excitait plus encore. Ils me firent écarter largement les cuisses et caresser mes fesses. D’une main ferme l’un d’eux me fit courber de dos et chacun, par leur langue s’introduisit dans mon trou intime. J’étais réticent mais ils savaient si bien me caresser ! La sensation qui me saisit fut très forte. Ils me firent gémir longtemps ! Je distinguais sans les voir les différences de caresses lorsque les suceurs changeaient. Peu après l’un des deux se leva et sa bite très raide se frotta à cet endroit. Je tentais de me dégager vivement mais ils me rassurèrent tout de suite sur leurs intentions.« Nous ne sommes pas des violeurs ! Et surtout des violeurs de jeunes garçons ! »
Je compris qu’ils ne feraient que frotter leur organe entre mes deux hémisphères fessiers qui les tentaient. « Nous m’irons pas plus loin, me rassurait l’un d’eux, et mon ami non plus. Nous allons seulement jouir entre tes jolies fesses et tout de suite après nous te suceront ! »
Ils le feront sans tricher. Mais leur frottement contre mes fesses, l’un après l’autre dura longtemps. J’entendais souffler très fort celui qui glissa le premier son organe entre mes fesses. Il disait indéfiniment « ah ton cul ! ah ton beau cul ! », puis il poussa un cri rauque et je me sentis arrosé de sa semence.
Son copain prit sa place après avoir rapidement essuyé le sperme du premier avec un mouchoir. Ses gémissements furent plus profonds, sa jouissance très lente de même que son éjaculation qui semblait ne plus finir. Maintenant mes fesses ruisselaient de son sperme.
Celui qui avait jouis sur moi le premier s’accroupit et absorba ma bite avec douceur tout en se masturbant. Excité depuis le début je sentis venir l’éjaculation et je voulus le prévenir. Mais loin de me lâcher, ses deux mains serrant mes fesses me firent comprendre qu’il voulait tout absorber dans sa bouche. Ce qu’il fit. Je me sentais épuisé et ce sont eux qui à l’aide de leurs mouchoirs qu’ils mouillaient sous le robinet du petit lavabo me lavèrent les fesses encore humides de leur sperme. J’avoue qu’ils le firent avec beaucoup de soin. Ils me remercièrent en souriant et en m’aidant à me rhabiller. L’un d’eux sortit le premier. L’autre attendit un instant. Un léger coup à la porte nous avertit que la place était libre. Le second m’embrassa, me remercia encore et sortit à son tour après m’avoir recommandé d’attendre le petit coup discret qu’il donnera contre la porte pour que je puisse sortir moi-même sans être vu. Mon short en tissu léger se collait contre mes fesses mais faisait croire à de la sueur.Je ne vins pas rejoindre ma mère et son amie à l’intérieur et préférai errer encore dans la galerie marchande. J’étais fatigué et c’est lui chercha mon maillot et gentiment entreprit de m'aider à le remettre. Avant de le remonter sur mes hanches il claqua mes fesses en manière de remerciement et remonta mon short. Il me remercia avec douceur en me disant d’attendre deux minutes pour sortir après lui.
Je me retrouvai dans la galerie marchande et attendis encore ma mère et son amie. Je les aidai à ranger leurs achats dans la voiture et m’étendis sur la banquette arrière. Ma mère fut étonnée de devoir me réveiller en arrivant.5 Le professeur Bio et l’invité inattendu
A 15 heures je me retrouvais sur la plage mais mon esprit s’attardait sur mon expérience vécue le matin même. J’avais toujours eu un camarade pour me branler mais aucun n’avait su si bien introduire sa langue dans mon orifice le plus intime ! Du moins aucun ne l’avait fait. Cette pensée m’excita.
L’un de nos invités, homme à l’allure sévère et aux cheveux gris portant un short de type scout, était un amateur plus solitaire mais très éclairé, qui attendait que je sois seul pour me tapoter plus affectueusement encore. C’était, certes, un ami de mon père parait-il mais l’on constatera son manque de délicatesse en amitié ! À l’égard du fils de son ami ! Dans son short de type scout, maigre et sec, il faisait penser à un officier anglais de l’armée des Indes du temps de Georges VI père de l’actuelle souveraine. En fait, il était parisien et professeur de linguistique dans une Université que je ne citerai pas. Nous avions échangé quelques propos courtois. Il était satisfait de me voir étudier le latin et le grec. Il me citait quelques vers d’Ovide car il m’avais vu ayant en main avec un extrait de ce poète et notamment ses écrits érotiques oubliés dans la bibliothèque de mon père. Certains très chauds comme "Remedia amoris" (avec sa traduction).
Il se disait antimilitariste, sexuellement « libéré », écolo, et se nourrissait bio ! Il voulut continuer l’érudite conversation sur la terrasse qui à cette heure-là était déserte et recouverte de sa toile de tente. J’étais nu comme ma mère le souhaitait. Il m’invita à s’asseoir sur ses genoux. Cette situation était plutôt rude car ses cuisses osseuses et dures roulaient avec régularité sous mes fesses. Il me faisait lire Ovide alors que lui-même semblait haleter. Son souffle était aussi vif que ses genoux étaient anguleux. Son haleine au dentifrice bio n’avait rien d’excitant. Brusquement il me fit mettre debout, m’invita à l’attendre, sortit et revint avec un nouveau short !
Malgré la naïveté de mon âge je compris la raison de ce changement. Mes fesses dodues avaient dû lui taquiner son organe viril et lui occasionner un jaillissement imprévu de semence encore abondante malgré son âge.
Il m’attirait aimablement par la main vers son fauteuil de plastique souple dans une partie de la terrasse cachée par une claie de roseaux. Il prenait pour moi des attitudes douceâtres et me parlait de mes études, étant lui-même professeur. Pour donner à notre conversation un ton plus affectueux encore, il m’invitait à prendre place sur ses genoux. Ils étaient maigres et cette position ne me favorisait pas malgré l’épaisseur charnu de mon derrière. Mais ce personnage qui pour moi se faisait aimable, m’impressionnait. Il passait une main sur mes cuisses il glissait l'autre sous mes fesses qu’il pétrissait en continuant ses stériles propos. Cette conversation affectueuse était entrecoupée par les souffles de sa respiration de plus en plus hésitante. Puis brusquement il me faisait vite mettre debout sa main pelotant toujours mes fesses. Il me semblait qu'il retenait un cri. Je m’éloignais. Notre conversation l’avait sans doute épuisé ! Malgré ma naïveté, je compris assez vite. Je me suis efforcé de ne pas sourire.
Il avait à mon égard les désirs que j'avais à l'égard des filles de la plage. Je savais qu’il allait changer son short anglais par un autre short identique et tout aussi "british". Mais ces gestes me flattaient. Ce personnage, dont le visage sévère semblait s’éclairer à ma vue, m’interpella alors que déjà nu je m'apprêtais à gagner la plage. J’allais admirer les jolies filles naturistes. Il me fit promettre de le rejoindre après le repas sur une dune que nous connaissions l’un et l’autre.
Il m’invitait à l’accompagner à sa petite promenade sur les dunes.
Il regarda aimablement les deux livres que j’avais en main : l’un était le " de viris illustribus urbis Romæ " que connaissent tous les latinistes débutants mais en version revue et récente, l’autre était "Voyage au centre de la terre" de Jules Verne. Il me félicita de partager mes lectures entre l’étude et le livre d’un bon auteur. Arrivé sur une dune protégée de la vue nous nous sommes assis pour faire la passionnante conversation qu’il aimait faire.
Il avait posé le " de viris illustribus " sur son giron et me demanda de m’approcher de lui pour en lire une page. Je me mis à genoux à ses côtés et bien sûr, sa main me palpa tout le corps.
Il devait connaître les points sensibles des garçons et particulièrement ceux qui sont situés sous leurs fesses. Il passait un doigt léger dans la ligne séparant les testicules de l'anus deux organes secrets qu'il n'évita pas de palper. De même mes testicules sur lesquels il passa sa langue. Je n'avais aucune honte de cet hommage. Mais il pensa que mon silence était ainsi une approbation. Son index surtout me surprenait par son audace ! Il l'introduisit dans mon orifice secret. La sensation fut vive et mon membre s’éveilla malgré moi et prit une très vive tenue.
A cette vue ses propos changèrent de sujet et il me parla des habitudes des garçons de mon âge qui calment le feu de leur membre par des caresses faites à la main.
"Ce que tu dois sans doute faire, n'est-il pas vrai ?". Je rougis à ces mots. Il le vit.
Il me rassura toutefois en me disant que la masturbation n’était qu’un besoin naturel commun à tous les garçons. Et même aux filles disait-il ! Je ne répondais pas car je me référais plutôt aux propos de mes camarades de classes dont certains étaient très éclairés sur ce point.
Ces propos m’excitèrent plus encore et lui aussi sans doute ! La position de sa station assise le laissait deviner malgré son short.
C’est alors qu’il me fit comprendre qu’il y avait des douceurs plus vives à donner à ce membre si un ami voulait bien se prêter à un jeu qu’il me proposa de faire avec lui. Je n’osais refuser. Il me fit allonger sur le sable. Mon membre se dressait vers le ciel et attendait. C’est alors que je le vis poser sa tête sur mon ventre. Sa langue glissa longtemps le long de mon organe alors que sa main passée sous mon corps continuait à me pétrir vivement. Puis ce fut tout mon membre que cet ami de la famille prit entre ses lèvres ! Je fermai les yeux car j’avais honte de mon attitude. Il faisait sortir et rentrer mon pénis de sa bouche, aspirait le gland et recommençait. Cette succion qui ressemblait à une tétée dura longtemps et je ne pouvais m’empêcher de gémir doucement. Il introduisit à nouveau son doigt. Mon orgasme attendu se manifesta par plusieurs jets très violents que le digne monsieur absorba. Je restai les yeux fermés. Puis ne voulant sans doute pas attarder là dans une attitude trop évidemment compromettante. Il se leva. Il semblait totalement satisfait. Je m’apercevais qu’il avait descendu légèrement son short et que les caresses qu’il m’avait données avaient provoqué chez lui un jet absorbé par le sable.
Il m’invita à un rendez-vous identique pour le lendemain sur ces mêmes lieux.
Mais le jour venu je fus pris hésitation. J'attendis un long moment. Je le rejoignis avec un retard qui avait décuplé son excitation.
Heureux de me revoir enfin il me proposa un autre jeu.
Je m’allongeais déjà sur le sable quand je le vis quitter son short. Il me fit mettre à plat ventre. Je tournai mon visage pour le regarder !
Il commença par me caresser le corps et élevant mon postérieur il s’y attarda en le mordillant avec passion. Je sentais son membre long et dur contre mon flanc. Puis il se mit derrière moi au niveau de mes fesses et de ses deux mains en écarta les deux lobes entre lesquels il mit sa langue. J’entendis des mots qu’il soufflait doucement comme malgré lui et qui me surprirent par leur grossièreté manifeste ! Qu’on en juge : quel joli cul ! Quel joli petit trou ! Il les répétait sans cesse. Certes j’avais entendu des mots pareils chez mes camarades mais cela me troublait venant d’un homme distingué ! Et professeur qui plus est !
Il ouvre maintenant très rudement mes fesses. Plus rien de moi n'était caché. Je sens sa bouche se poser sur mon orifice. Puis sa langue le pénétra et elle y joua longtemps sa partition.
Il chuchota sur mon oreille : « N’aie pas peur je vais maintenant me frotter contre tes fesses, sans plus ! Sans pénétrer ne t'inquiète pas. Cela te chauffera sans te faire mal ! Puis je te sucerai comme hier ».
Je sentis ce membre long et raide que j’avais aperçu sans y attacher ma vue, se placer dans sa longueur entre mes deux hémisphères qu’il avait ouvert plus encore, comme un livre. Je sentais un peu le poids de son corps même si ses deux mains s’appuyaient sur le sable. Je devinais qu’il pratiquait un va et vient sur mon derrière. Il soupirait si fort que j'eus peur qu’on l’entendit sur la plage. Cela dura longtemps. Trop longtemps à mon goût. Puis son gémissement devint un râle intense. Je reçus sur les reins ses jets vifs qui ruisselaient dans mon dos et vers mes fesses. Puis il se retourna comme épuisé. Ce liquide qui baignait mon dos me gênait. Je me remis en position allongée et selon sa promesse il caressa mon membre avec douceur. L’ayant raidi de ses caresses manuelles, il le prit dans sa bouche et l’étrange tétée commença. Sa bouche était chaude. Sa langue entourait parfois mon membre. Les yeux fermé j'attendais le jet libérateur. Comme il le fit trop lentement à mon goût, je lui fis aussi attendre longtemps mon éjaculation et il dut faire travailler ses mandibules pour un temps au moins aussi long !
Il remit son short, me remercia gentiment et me fit promettre de revenir le lendemain. Ce fut la même séance en plus découvert si l'on peut dire. Il avait quitté totalement son short. La séance fut plus longue aussi. Il semblait retenir son plaisir.
Pendant le repas, j’évitai ses regards. Après le café je le vis sortir après m’avoir lancé un coup d’œil qui se voulait aimable. J’hésitai de mon coté à sortir. Puis ne voulant pas m’enfermer pour cette journée je quittai mon short dès la porte passée selon la consigne, et avec mon livre latin je pris le sentier de la plage sous la maison. La dune qu’il m’avait indiquée était proche. Je vins vers lui. Il souriait. Maintenant, nous étions assis, nus tous les deux bien entendu.
Il me fit lire une page d’Ovide extraite des " Métamorphoses " me félicitant pour avoir su habilement scander les syllabes longues des vers latins. Mais pendant ma diction sa main caressait mes cuisses. Ses caresses le faisaient bander. Je le laissais s’exciter ainsi. Sa bouche se posa sur mes épaules puis couru le long de ma poitrine et s’arrêta un instant sur le nombril. Je m’allongeai. Le livre fermé reposait sur mon ventre. Il m’écarta les cuisses et je compris ce qu’il comptait obtenir. Je pris le parti de le laisser faire. Ayant constaté mon acceptation muette il se leva, et me hissa doucement sur le monticule de sable tout proche. Les cuisses bien écartées il regarda longtemps la partie pendante contenant mes testicules et les caressa. Il était stupéfait de ce gros organe dont il pelotait les boules. Ma verge lui semblait grosse. J’avais juste un peu de pilosité claire à son entour. Il l’engloutit goulument. Sa succion était agréable. Je lui dis que je l’avertirai quand il le faudra. Il me répondit qu’il « souhaitait savourer mon nectar ». Il semblait répéter par ce mot la traduction d’un poème érotique grec que je connaissais ! et pour cela je faillis rire ! Il me suça longuement et je l’avertis de mon éjaculation proche ; mais il serra ses lèvres et absorba tout. Mais mon jus étant très abondant, il arrosa copieusement sa poitrine ce qui le fit rire. Il restait près de moi toujours excité. Il se leva, cacha son érection par sa serviette et m’encouragea à courir pour plonger dans la mer. Il courut derrière moi et me rejoignit. Quelques brasses suffirent pour nous retrouver derrière la digue. Il lava sa poitrine puis mes cuisses, soigna mes organes génitaux de ses deux mains, m’ouvrit les fesses et passa ses doigts pour laver mon orifice postérieur. Malgré la fraicheur de l’eau sa bite était redevenue raide. Il s’entoura de sa serviette et m’invita à revenir sur la dune. Je repris lentement cette direction portant ma serviette autour du cou. Il me suivait et une fois arrivé, me dit comme l’avait fait une des filles, combien il avait savouré les mouvements de mes fesses charnues.
Quand il ôta sa serviette je vis que son érection était vive, d’autant qu’il n’avait pas jouis en me suçant quelques minutes plus tôt. Il me dit à quel point il avait besoin de se répandre. Toujours sur la bosse de sable sur lequel j’avais étendu ma serviette je me positionnai à quatre pattes devant lui, puisqu’aussi bien il aimait regarder mes fesses ! Il pourrait donc se branler à loisir devant ce petit spectacle innocent que j’offrais. En fait il écarta mes jambes. Je compris qu’il souhaitait contempler ma rosette qui à l’époque n’avait aucune pilosité ou à peine ! J’écartai mes cuisses. Je sentis ses mains m’écarter les fesses avec force comme me l’avait fait les jeunes hommes rencontrés dans les toilettes du supermarché.
C’est alors que je sentis sa bouche se plaquer contre mon orifice intime qu’il avait pris soin de laver dans la mer tout à l’heure. Sa langue devint fine et s’introduisit avec l’aisance d’un habitué. Il adorait sans doute les culs des jeunes garçons et savait sans doute ce qui leur fait tant plaisir. Il savait qu’il me faisait jouir.
Sa main droite avait saisi mon sac à testicules qui était long. Il en caressait amoureusement les boules. La sensation que j’en recevais était devenue si vive que je gémissais. Je sentais que mon compagnon se branlait. Puis il se coucha sur moi. Sa bite était allongée raide, le long de mon derrière.
- Je vais te pénétrer doucement.
- Non ! on ne m’a jamais fait ça ! je veux pas !
- Alors laisse-moi me frotter sur tes fesses
- Alors oui !
Il prit longuement son plaisir comme des deux jeunes hommes du supermarché. Puis il soupira et m’inonda de sa semence. Son sperme coulait sur mes fesses et même sur mon dos.
C’est alors que nous avons perçu un mouvement et une voix nous surprit qui nous terrorisa même !
- Alors ! On a prit du bon temps je vois ! s’écria un homme que nous connaissions fort bien ! C’était un invité de la maison. Mais là.... cet homme … nous ne l’avions pas vu arriver !.
- Il a un joli cul ce petit ! reprit-il, il faudra me le prêter un peu ...
Notre surprise fut totale. Le professeur parut effrayé et honteux. Il se redressa s’enveloppa de sa serviette avec toute la dignité qui lui restait et partit.
Bien sûr, il manifestera assez tôt le désir de me revoir !
J’allais courir tout de suite me jeter à l’eau pour me laver quand l’homme agrippa mon bras d’une main vigoureuse. Lui aussi était nu et il m’expliqua qu’il avait regardé la scène ce qui lui avait occasionné une érection bien visible. Il nous connaissait. Mais, déclarait-il, il n’était pas un vilain bonhomme et savait garder les petits secrets intimes même les plus polissons. Avec une certaine solennité il assura qu’il ferait silence tant sur l’attitude du professeur que sur la mienne. J’étais certain de cette promesse.
Ce fut tout mon membre que cet ami de la famille prit entre ses lèvres ! Je fermai les yeux car j’avais honte de mon attitude. Il faisait sortir et rentrer mon pénis de sa bouche, aspirait le gland et recommençait. Cette succion qui ressemblait à une tétée dura longtemps et je ne pouvais m’empêcher de gémir doucement. Il introduisit son doigt dans mon anus. Mon membre tendu projeta alors plusieurs jets très violents que le digne monsieur qui attendait cette réaction absorba. Je restai les yeux fermés. Puis ne voulant sans doute pas attarder là dans une attitude trop évidemment compromettante, l’homme se leva. Il semblait totalement satisfait. Je m’apercevais qu’il avait descendu légèrement son short et que les caresses qu’il m’avait données avaient provoqué chez lui un jet absorbé par le sable.
Il m’invita à un rendez-vous identique pour le lendemain sur ces mêmes lieux.
Mais le jour venu je fus pris hésitation. J'attendis un long moment. J’hésitais à entretenir une hostilité visible entre ces deux rivaux. Je le rejoignis avec un retard qui avait décuplé son excitation.
Heureux de me revoir enfin il me proposa un autre jeu.
Je m’allongeais déjà sur le sable quand je le vis quitter son short. Il me fit mettre à plat ventre.
Il commença par me caresser le corps et élevant mon postérieur il s’y attarda en le mordillant avec passion. Je sentais son membre long et dur contre mon flanc. Puis il se mit derrière moi au niveau de mes fesses et de ses deux mains en écarta les deux lobes entre lesquels il mit sa langue. J’entendis des mots qu’il soufflait doucement comme malgré lui et qui me surprirent par leur grossièreté manifeste ! Qu’on en juge : "quel joli cul ! Quel joli petit trou ! ". Il les répétait sans cesse. Certes j’avais entendu des mots pareils chez mes camarades mais cela me troublait venant d’un homme distingué !
Il ouvre maintenant très rudement mes fesses. Plus rien de moi n'est caché. Je sens sa bouche se poser sur mon orifice intime. Puis sa langue qui le pénètre et y joue longtemps.
Il chuchota sur mon oreille : " N’aie pas peur je vais maintenant me frotter contre tes fesses, sans plus ! Sans y pénétrer ne t'inquiète pas, ça te chauffera sans te faire mal ! Puis je te sucerai comme hier ".
Je sentis ce membre long et raide que j’avais aperçu sans y attacher ma vue, se placer dans sa longueur entre mes deux hémisphères qu’il avait ouvert plus encore, comme un livre. Je sentais un peu le poids de son corps même si ses deux mains s’appuyaient sur le sable. Je devinais qu’il pratiquait un va et vient son membre blotti dans mon derrière. Il soupirait si fort que j'eus peur qu’on l’entendit sur la plage. Cela dura longtemps. Trop longtemps à mon goût. Puis son gémissement devint un râle intense. Je reçus sur les reins ses jets vifs qui ruisselaient dans mon dos et vers mes fesses. Puis il se retourna comme épuisé. Ce liquide qui baignait mon dos me gênait. Je me remis en position allongée et il caressa mon membre avec douceur. L’ayant raidi de ses caresses manuelles, il le prit dans sa bouche et l’étrange tétée recommença. Sa bouche était chaude. Sa langue entourait parfois mon membre. Les yeux fermé j'attendais le jet libérateur. Comme il le fit en se frottant sur mes fesses pour trop de temps à mon goût, je lui fis aussi attendre longtemps mon éjaculation et il dut faire travailler ses mandibules pour un temps au moins aussi long !
Il remit son short, me remercia gentiment et me fit promettre de revenir le lendemain. Ce fut la même séance en plus découvert si l'on peut dire. Il avait quitté totalement son short. La séance fut plus longue aussi. Il semblait retenir son plaisir.
. Je me mis à genoux à ses côtés et bien sûr, sa main me palpa tout le corps. Il devait connaître les points sensibles des garçons et particulièrement ceux qui sont situés sous leurs fesses. Il passait un doigt léger dans la ligne séparant les testicules de l'anus deux organes secrets qu'il n'évita pas de palper. De même mes testicules sur lesquels il passa sa langue. Je n'avais aucune honte de cet hommage. Mais il pensa que mon silence était ainsi une acceptation.
Si je reçus toujours des amis de la famille des affectueuses caresses sur les fesses, personne n’osa me proposer de me caresser comme le firent ces deux messieurs.Quelques jours plus tard, le matin, je dus accompagner ma mère et l'épouse de l'un de nos amis en voiture vers un supermarché assez proche. La clientèle était composée de vacanciers des plages. Certes, il fallait se vêtir au moins d’un tee-shirt et d’un short. Celui que je portais pouvait être aussi un maillot de bain et son tissu était léger. La plupart des jeunes vacanciers étaient ainsi légèrement vêtus. Le supermarché des plagistes en quelque sorte, car la tenue des clients était des plus légère. Guère moins pour certains que sur une plage. Arrivé là, j’ai préféré les attendre en restant dans la galerie marchande plus attrayante. Un petit besoin impérieux me conduisit vers les toilettes.
J’étais seul ce que je souhaitais car devant l’urinoir je devais baisser totalement mon "shorty" très léger en tissu synthétique qui était plutôt un maillot en couleur et sans braguette. Pour me servir de l’urinoir je devais donc dégager mes fesses entièrement. C’est alors que m’étant soulagé, mes fesses charnues étant encore à l’air, deux jeunes hommes vinrent se placer à mon côté et ouvrirent leurs braguettes pour se soulager. Ils bavardaient tous deux. Mais leurs regards se fixèrent vite sur mes fesses joufflues. J’étais nudiste mais je savais comment me tenir !
Ils m’observaient. Mieux encore ils se tournèrent vers moi en souriant et en faisant le geste de la masturbation. Par effronterie et presque par l’impatience d’avoir été observé, je fis de même pendant quelques secondes. Ils avaient de grosses bites mais s’étonnaient de l’épaisseur de mes organes et le disaient aimablement. Moi je ne bandais pas mais comme je l’ai dit mes organes génitaux volumineux devaient les surprendre pour mon âge. Je le savais et les montrer à ces hommes était mon insolente réponse !
Nous n’étions heureusement que nous trois dans ces toilettes.
Ces hommes, nullement vexés firent un sourire admiratif mais gentil. Ils m’invitèrent à entrer avec eux dans une cabine. J’ai hésité. Ils insistèrent en me disant que nous pourrions tous les trois pratiquer cette petite affaire somme toute banale et que je devais faire souvent moi-même seul ou avec des camarades, disaient-ils. Ils me promirent de me caresser délicatement sans me faire le moindre bobo ! Finalement ils avaient l’air gentil et je me sentis un peu fier de l’admiration qu’ils exprimaient à mon égard.
Ils ouvrirent une des cabines. C’était la plus grande. Celle réservée en principe aux handicapés. Je les suivis. Ils furent nus presque tout de suite. Excités, leur organe était bien raide. « Nous sommes très doux. On ne te fera rien que tu puisses refuser » dirent-ils. J’ai baissé timidement mon short très léger. L’un des deux vint me le quitter totalement ainsi que mon tee-shirt alors que sont camarade me caressait déjà. J’aimais leur attitude et mon organe devint aussi raide que le leur. Plus gros même semble-t-il ce qui les mettait dans une gentille admiration. Ils étaient accroupis devant moi et leurs bouches absorbaient mon gland mais sans trop le sucer. L’un des deux s’assit sur la cuvette refermée et m’invita sur ses genoux. Il m’écarta les cuisses pour permettre à son ami de s’accroupir et de passer sa langue entre mes testicules et ma verge puis dans mon trou intime. Son habileté de la langue me faisait gémir de plaisir. Ils le faisaient pour le plaisir de m’exciter. M’étant mis debout ils me demandèrent de me retourner pour leur permettre de caresser mes fesses à tour de rôle. En fait c’était encore avec leurs langues qu’ils me caressaient. Cela m’excitait plus encore. Ils me firent écarter largement les cuisses et caresser mes fesses. D’une main ferme l’un d’eux me fit courber de dos et chacun, par leur langue s’introduisit dans mon trou intime. J’étais réticent mais ils savaient si bien me caresser ! La sensation qui me saisit fut très forte. Ils me firent gémir longtemps ! Je distinguais sans les voir les différences de caresses lorsque les suceurs changeaient. Peu après l’un des deux se leva et sa bite très raide se frotta à cet endroit. Je tentais de me dégager vivement mais ils me rassurèrent tout de suite sur leurs intentions.« Nous ne sommes pas des violeurs ! Et surtout des violeurs de jeunes garçons ! »
Je compris qu’ils ne feraient que frotter leur organe entre mes deux hémisphères fessiers qui les tentaient. « Nous m’irons pas plus loin, me rassurait l’un d’eux, et mon ami non plus. Nous allons seulement jouir entre tes jolies fesses et tout de suite après nous te suceront ! »
Ils le feront sans tricher. Mais leur frottement contre mes fesses, l’un après l’autre dura longtemps. J’entendais souffler très fort celui qui glissa le premier son organe entre mes fesses. Il disait indéfiniment « ah ton cul ! ah ton beau cul ! », puis il poussa un cri rauque et je me sentis arrosé de sa semence.
Son copain prit sa place après avoir rapidement essuyé le sperme du premier avec un mouchoir. Ses gémissements furent plus profonds, sa jouissance très lente de même que son éjaculation qui semblait ne plus finir. Maintenant mes fesses ruisselaient de son sperme.
Celui qui avait jouis sur moi le premier s’accroupit et absorba ma bite avec douceur tout en se masturbant. Excité depuis le début je sentis venir l’éjaculation et je voulus le prévenir. Mais loin de me lâcher, ses deux mains serrant mes fesses me firent comprendre qu’il voulait tout absorber dans sa bouche. Ce qu’il fit. Je me sentais épuisé et ce sont eux qui à l’aide de leurs mouchoirs qu’ils mouillaient sous le robinet du petit lavabo me lavèrent les fesses encore humides de leur sperme. J’avoue qu’ils le firent avec beaucoup de soin. Ils me remercièrent en souriant et en m’aidant à me rhabiller. L’un d’eux sortit le premier. L’autre attendit un instant. Un léger coup à la porte nous avertit que la place était libre. Le second m’embrassa, me remercia encore et sortit à son tour après m’avoir recommandé d’attendre le petit coup discret qu’il donnera contre la porte pour que je puisse sortir moi-même sans être vu. Mon short en tissu léger se collait contre mes fesses mais faisait croire à de la sueur.Je ne vins pas rejoindre ma mère et son amie à l’intérieur et préférai errer encore dans la galerie marchande. J’étais fatigué et c’est lui chercha mon maillot et gentiment entreprit de m'aider à le remettre. Avant de le remonter sur mes hanches il claqua mes fesses en manière de remerciement et remonta mon short. Il me remercia avec douceur en me disant d’attendre deux minutes pour sortir après lui.
Je me retrouvai dans la galerie marchande et attendis encore ma mère et son amie. Je les aidai à ranger leurs achats dans la voiture et m’étendis sur la banquette arrière. Ma mère fut étonnée de devoir me réveiller en arrivant.5 Le professeur Bio et l’invité inattendu
A 15 heures je me retrouvais sur la plage mais mon esprit s’attardait sur mon expérience vécue le matin même. J’avais toujours eu un camarade pour me branler mais aucun n’avait su si bien introduire sa langue dans mon orifice le plus intime ! Du moins aucun ne l’avait fait. Cette pensée m’excita.
L’un de nos invités, homme à l’allure sévère et aux cheveux gris portant un short de type scout, était un amateur plus solitaire mais très éclairé, qui attendait que je sois seul pour me tapoter plus affectueusement encore. C’était, certes, un ami de mon père parait-il mais l’on constatera son manque de délicatesse en amitié ! À l’égard du fils de son ami ! Dans son short de type scout, maigre et sec, il faisait penser à un officier anglais de l’armée des Indes du temps de Georges VI père de l’actuelle souveraine. En fait, il était parisien et professeur de linguistique dans une Université que je ne citerai pas. Nous avions échangé quelques propos courtois. Il était satisfait de me voir étudier le latin et le grec. Il me citait quelques vers d’Ovide car il m’avais vu ayant en main avec un extrait de ce poète et notamment ses écrits érotiques oubliés dans la bibliothèque de mon père. Certains très chauds comme "Remedia amoris" (avec sa traduction).
Il se disait antimilitariste, sexuellement « libéré », écolo, et se nourrissait bio ! Il voulut continuer l’érudite conversation sur la terrasse qui à cette heure-là était déserte et recouverte de sa toile de tente. J’étais nu comme ma mère le souhaitait. Il m’invita à s’asseoir sur ses genoux. Cette situation était plutôt rude car ses cuisses osseuses et dures roulaient avec régularité sous mes fesses. Il me faisait lire Ovide alors que lui-même semblait haleter. Son souffle était aussi vif que ses genoux étaient anguleux. Son haleine au dentifrice bio n’avait rien d’excitant. Brusquement il me fit mettre debout, m’invita à l’attendre, sortit et revint avec un nouveau short !
Malgré la naïveté de mon âge je compris la raison de ce changement. Mes fesses dodues avaient dû lui taquiner son organe viril et lui occasionner un jaillissement imprévu de semence encore abondante malgré son âge.
Il m’attirait aimablement par la main vers son fauteuil de plastique souple dans une partie de la terrasse cachée par une claie de roseaux. Il prenait pour moi des attitudes douceâtres et me parlait de mes études, étant lui-même professeur. Pour donner à notre conversation un ton plus affectueux encore, il m’invitait à prendre place sur ses genoux. Ils étaient maigres et cette position ne me favorisait pas malgré l’épaisseur charnu de mon derrière. Mais ce personnage qui pour moi se faisait aimable, m’impressionnait. Il passait une main sur mes cuisses il glissait l'autre sous mes fesses qu’il pétrissait en continuant ses stériles propos. Cette conversation affectueuse était entrecoupée par les souffles de sa respiration de plus en plus hésitante. Puis brusquement il me faisait vite mettre debout sa main pelotant toujours mes fesses. Il me semblait qu'il retenait un cri. Je m’éloignais. Notre conversation l’avait sans doute épuisé ! Malgré ma naïveté, je compris assez vite. Je me suis efforcé de ne pas sourire.
Il avait à mon égard les désirs que j'avais à l'égard des filles de la plage. Je savais qu’il allait changer son short anglais par un autre short identique et tout aussi "british". Mais ces gestes me flattaient. Ce personnage, dont le visage sévère semblait s’éclairer à ma vue, m’interpella alors que déjà nu je m'apprêtais à gagner la plage. J’allais admirer les jolies filles naturistes. Il me fit promettre de le rejoindre après le repas sur une dune que nous connaissions l’un et l’autre.
Il m’invitait à l’accompagner à sa petite promenade sur les dunes.
Il regarda aimablement les deux livres que j’avais en main : l’un était le " de viris illustribus urbis Romæ " que connaissent tous les latinistes débutants mais en version revue et récente, l’autre était "Voyage au centre de la terre" de Jules Verne. Il me félicita de partager mes lectures entre l’étude et le livre d’un bon auteur. Arrivé sur une dune protégée de la vue nous nous sommes assis pour faire la passionnante conversation qu’il aimait faire.
Il avait posé le " de viris illustribus " sur son giron et me demanda de m’approcher de lui pour en lire une page. Je me mis à genoux à ses côtés et bien sûr, sa main me palpa tout le corps.
Il devait connaître les points sensibles des garçons et particulièrement ceux qui sont situés sous leurs fesses. Il passait un doigt léger dans la ligne séparant les testicules de l'anus deux organes secrets qu'il n'évita pas de palper. De même mes testicules sur lesquels il passa sa langue. Je n'avais aucune honte de cet hommage. Mais il pensa que mon silence était ainsi une approbation. Son index surtout me surprenait par son audace ! Il l'introduisit dans mon orifice secret. La sensation fut vive et mon membre s’éveilla malgré moi et prit une très vive tenue.
A cette vue ses propos changèrent de sujet et il me parla des habitudes des garçons de mon âge qui calment le feu de leur membre par des caresses faites à la main.
"Ce que tu dois sans doute faire, n'est-il pas vrai ?". Je rougis à ces mots. Il le vit.
Il me rassura toutefois en me disant que la masturbation n’était qu’un besoin naturel commun à tous les garçons. Et même aux filles disait-il ! Je ne répondais pas car je me référais plutôt aux propos de mes camarades de classes dont certains étaient très éclairés sur ce point.
Ces propos m’excitèrent plus encore et lui aussi sans doute ! La position de sa station assise le laissait deviner malgré son short.
C’est alors qu’il me fit comprendre qu’il y avait des douceurs plus vives à donner à ce membre si un ami voulait bien se prêter à un jeu qu’il me proposa de faire avec lui. Je n’osais refuser. Il me fit allonger sur le sable. Mon membre se dressait vers le ciel et attendait. C’est alors que je le vis poser sa tête sur mon ventre. Sa langue glissa longtemps le long de mon organe alors que sa main passée sous mon corps continuait à me pétrir vivement. Puis ce fut tout mon membre que cet ami de la famille prit entre ses lèvres ! Je fermai les yeux car j’avais honte de mon attitude. Il faisait sortir et rentrer mon pénis de sa bouche, aspirait le gland et recommençait. Cette succion qui ressemblait à une tétée dura longtemps et je ne pouvais m’empêcher de gémir doucement. Il introduisit à nouveau son doigt. Mon orgasme attendu se manifesta par plusieurs jets très violents que le digne monsieur absorba. Je restai les yeux fermés. Puis ne voulant sans doute pas attarder là dans une attitude trop évidemment compromettante. Il se leva. Il semblait totalement satisfait. Je m’apercevais qu’il avait descendu légèrement son short et que les caresses qu’il m’avait données avaient provoqué chez lui un jet absorbé par le sable.
Il m’invita à un rendez-vous identique pour le lendemain sur ces mêmes lieux.
Mais le jour venu je fus pris hésitation. J'attendis un long moment. Je le rejoignis avec un retard qui avait décuplé son excitation.
Heureux de me revoir enfin il me proposa un autre jeu.
Je m’allongeais déjà sur le sable quand je le vis quitter son short. Il me fit mettre à plat ventre. Je tournai mon visage pour le regarder !
Il commença par me caresser le corps et élevant mon postérieur il s’y attarda en le mordillant avec passion. Je sentais son membre long et dur contre mon flanc. Puis il se mit derrière moi au niveau de mes fesses et de ses deux mains en écarta les deux lobes entre lesquels il mit sa langue. J’entendis des mots qu’il soufflait doucement comme malgré lui et qui me surprirent par leur grossièreté manifeste ! Qu’on en juge : quel joli cul ! Quel joli petit trou ! Il les répétait sans cesse. Certes j’avais entendu des mots pareils chez mes camarades mais cela me troublait venant d’un homme distingué ! Et professeur qui plus est !
Il ouvre maintenant très rudement mes fesses. Plus rien de moi n'était caché. Je sens sa bouche se poser sur mon orifice. Puis sa langue le pénétra et elle y joua longtemps sa partition.
Il chuchota sur mon oreille : « N’aie pas peur je vais maintenant me frotter contre tes fesses, sans plus ! Sans pénétrer ne t'inquiète pas. Cela te chauffera sans te faire mal ! Puis je te sucerai comme hier ».
Je sentis ce membre long et raide que j’avais aperçu sans y attacher ma vue, se placer dans sa longueur entre mes deux hémisphères qu’il avait ouvert plus encore, comme un livre. Je sentais un peu le poids de son corps même si ses deux mains s’appuyaient sur le sable. Je devinais qu’il pratiquait un va et vient sur mon derrière. Il soupirait si fort que j'eus peur qu’on l’entendit sur la plage. Cela dura longtemps. Trop longtemps à mon goût. Puis son gémissement devint un râle intense. Je reçus sur les reins ses jets vifs qui ruisselaient dans mon dos et vers mes fesses. Puis il se retourna comme épuisé. Ce liquide qui baignait mon dos me gênait. Je me remis en position allongée et selon sa promesse il caressa mon membre avec douceur. L’ayant raidi de ses caresses manuelles, il le prit dans sa bouche et l’étrange tétée commença. Sa bouche était chaude. Sa langue entourait parfois mon membre. Les yeux fermé j'attendais le jet libérateur. Comme il le fit trop lentement à mon goût, je lui fis aussi attendre longtemps mon éjaculation et il dut faire travailler ses mandibules pour un temps au moins aussi long !
Il remit son short, me remercia gentiment et me fit promettre de revenir le lendemain. Ce fut la même séance en plus découvert si l'on peut dire. Il avait quitté totalement son short. La séance fut plus longue aussi. Il semblait retenir son plaisir.
Pendant le repas, j’évitai ses regards. Après le café je le vis sortir après m’avoir lancé un coup d’œil qui se voulait aimable. J’hésitai de mon coté à sortir. Puis ne voulant pas m’enfermer pour cette journée je quittai mon short dès la porte passée selon la consigne, et avec mon livre latin je pris le sentier de la plage sous la maison. La dune qu’il m’avait indiquée était proche. Je vins vers lui. Il souriait. Maintenant, nous étions assis, nus tous les deux bien entendu.
Il me fit lire une page d’Ovide extraite des " Métamorphoses " me félicitant pour avoir su habilement scander les syllabes longues des vers latins. Mais pendant ma diction sa main caressait mes cuisses. Ses caresses le faisaient bander. Je le laissais s’exciter ainsi. Sa bouche se posa sur mes épaules puis couru le long de ma poitrine et s’arrêta un instant sur le nombril. Je m’allongeai. Le livre fermé reposait sur mon ventre. Il m’écarta les cuisses et je compris ce qu’il comptait obtenir. Je pris le parti de le laisser faire. Ayant constaté mon acceptation muette il se leva, et me hissa doucement sur le monticule de sable tout proche. Les cuisses bien écartées il regarda longtemps la partie pendante contenant mes testicules et les caressa. Il était stupéfait de ce gros organe dont il pelotait les boules. Ma verge lui semblait grosse. J’avais juste un peu de pilosité claire à son entour. Il l’engloutit goulument. Sa succion était agréable. Je lui dis que je l’avertirai quand il le faudra. Il me répondit qu’il « souhaitait savourer mon nectar ». Il semblait répéter par ce mot la traduction d’un poème érotique grec que je connaissais ! et pour cela je faillis rire ! Il me suça longuement et je l’avertis de mon éjaculation proche ; mais il serra ses lèvres et absorba tout. Mais mon jus étant très abondant, il arrosa copieusement sa poitrine ce qui le fit rire. Il restait près de moi toujours excité. Il se leva, cacha son érection par sa serviette et m’encouragea à courir pour plonger dans la mer. Il courut derrière moi et me rejoignit. Quelques brasses suffirent pour nous retrouver derrière la digue. Il lava sa poitrine puis mes cuisses, soigna mes organes génitaux de ses deux mains, m’ouvrit les fesses et passa ses doigts pour laver mon orifice postérieur. Malgré la fraicheur de l’eau sa bite était redevenue raide. Il s’entoura de sa serviette et m’invita à revenir sur la dune. Je repris lentement cette direction portant ma serviette autour du cou. Il me suivait et une fois arrivé, me dit comme l’avait fait une des filles, combien il avait savouré les mouvements de mes fesses charnues.
Quand il ôta sa serviette je vis que son érection était vive, d’autant qu’il n’avait pas jouis en me suçant quelques minutes plus tôt. Il me dit à quel point il avait besoin de se répandre. Toujours sur la bosse de sable sur lequel j’avais étendu ma serviette je me positionnai à quatre pattes devant lui, puisqu’aussi bien il aimait regarder mes fesses ! Il pourrait donc se branler à loisir devant ce petit spectacle innocent que j’offrais. En fait il écarta mes jambes. Je compris qu’il souhaitait contempler ma rosette qui à l’époque n’avait aucune pilosité ou à peine ! J’écartai mes cuisses. Je sentis ses mains m’écarter les fesses avec force comme me l’avait fait les jeunes hommes rencontrés dans les toilettes du supermarché.
C’est alors que je sentis sa bouche se plaquer contre mon orifice intime qu’il avait pris soin de laver dans la mer tout à l’heure. Sa langue devint fine et s’introduisit avec l’aisance d’un habitué. Il adorait sans doute les culs des jeunes garçons et savait sans doute ce qui leur fait tant plaisir. Il savait qu’il me faisait jouir.
Sa main droite avait saisi mon sac à testicules qui était long. Il en caressait amoureusement les boules. La sensation que j’en recevais était devenue si vive que je gémissais. Je sentais que mon compagnon se branlait. Puis il se coucha sur moi. Sa bite était allongée raide, le long de mon derrière.
- Je vais te pénétrer doucement.
- Non ! on ne m’a jamais fait ça ! je veux pas !
- Alors laisse-moi me frotter sur tes fesses
- Alors oui !
Il prit longuement son plaisir comme des deux jeunes hommes du supermarché. Puis il soupira et m’inonda de sa semence. Son sperme coulait sur mes fesses et même sur mon dos.
C’est alors que nous avons perçu un mouvement et une voix nous surprit qui nous terrorisa même !
- Alors ! On a prit du bon temps je vois ! s’écria un homme que nous connaissions fort bien ! C’était un invité de la maison. Mais là.... cet homme … nous ne l’avions pas vu arriver !.
- Il a un joli cul ce petit ! reprit-il, il faudra me le prêter un peu ...
Notre surprise fut totale. Le professeur parut effrayé et honteux. Il se redressa s’enveloppa de sa serviette avec toute la dignité qui lui restait et partit.
Bien sûr, il manifestera assez tôt le désir de me revoir !
J’allais courir tout de suite me jeter à l’eau pour me laver quand l’homme agrippa mon bras d’une main vigoureuse. Lui aussi était nu et il m’expliqua qu’il avait regardé la scène ce qui lui avait occasionné une érection bien visible. Il nous connaissait. Mais, déclarait-il, il n’était pas un vilain bonhomme et savait garder les petits secrets intimes même les plus polissons. Avec une certaine solennité il assura qu’il ferait silence tant sur l’attitude du professeur que sur la mienne. J’étais certain de cette promesse.
Ce fut tout mon membre que cet ami de la famille prit entre ses lèvres ! Je fermai les yeux car j’avais honte de mon attitude. Il faisait sortir et rentrer mon pénis de sa bouche, aspirait le gland et recommençait. Cette succion qui ressemblait à une tétée dura longtemps et je ne pouvais m’empêcher de gémir doucement. Il introduisit son doigt dans mon anus. Mon membre tendu projeta alors plusieurs jets très violents que le digne monsieur qui attendait cette réaction absorba. Je restai les yeux fermés. Puis ne voulant sans doute pas attarder là dans une attitude trop évidemment compromettante, l’homme se leva. Il semblait totalement satisfait. Je m’apercevais qu’il avait descendu légèrement son short et que les caresses qu’il m’avait données avaient provoqué chez lui un jet absorbé par le sable.
Il m’invita à un rendez-vous identique pour le lendemain sur ces mêmes lieux.
Mais le jour venu je fus pris hésitation. J'attendis un long moment. J’hésitais à entretenir une hostilité visible entre ces deux rivaux. Je le rejoignis avec un retard qui avait décuplé son excitation.
Heureux de me revoir enfin il me proposa un autre jeu.
Je m’allongeais déjà sur le sable quand je le vis quitter son short. Il me fit mettre à plat ventre.
Il commença par me caresser le corps et élevant mon postérieur il s’y attarda en le mordillant avec passion. Je sentais son membre long et dur contre mon flanc. Puis il se mit derrière moi au niveau de mes fesses et de ses deux mains en écarta les deux lobes entre lesquels il mit sa langue. J’entendis des mots qu’il soufflait doucement comme malgré lui et qui me surprirent par leur grossièreté manifeste ! Qu’on en juge : "quel joli cul ! Quel joli petit trou ! ". Il les répétait sans cesse. Certes j’avais entendu des mots pareils chez mes camarades mais cela me troublait venant d’un homme distingué !
Il ouvre maintenant très rudement mes fesses. Plus rien de moi n'est caché. Je sens sa bouche se poser sur mon orifice intime. Puis sa langue qui le pénètre et y joue longtemps.
Il chuchota sur mon oreille : " N’aie pas peur je vais maintenant me frotter contre tes fesses, sans plus ! Sans y pénétrer ne t'inquiète pas, ça te chauffera sans te faire mal ! Puis je te sucerai comme hier ".
Je sentis ce membre long et raide que j’avais aperçu sans y attacher ma vue, se placer dans sa longueur entre mes deux hémisphères qu’il avait ouvert plus encore, comme un livre. Je sentais un peu le poids de son corps même si ses deux mains s’appuyaient sur le sable. Je devinais qu’il pratiquait un va et vient son membre blotti dans mon derrière. Il soupirait si fort que j'eus peur qu’on l’entendit sur la plage. Cela dura longtemps. Trop longtemps à mon goût. Puis son gémissement devint un râle intense. Je reçus sur les reins ses jets vifs qui ruisselaient dans mon dos et vers mes fesses. Puis il se retourna comme épuisé. Ce liquide qui baignait mon dos me gênait. Je me remis en position allongée et il caressa mon membre avec douceur. L’ayant raidi de ses caresses manuelles, il le prit dans sa bouche et l’étrange tétée recommença. Sa bouche était chaude. Sa langue entourait parfois mon membre. Les yeux fermé j'attendais le jet libérateur. Comme il le fit en se frottant sur mes fesses pour trop de temps à mon goût, je lui fis aussi attendre longtemps mon éjaculation et il dut faire travailler ses mandibules pour un temps au moins aussi long !
Il remit son short, me remercia gentiment et me fit promettre de revenir le lendemain. Ce fut la même séance en plus découvert si l'on peut dire. Il avait quitté totalement son short. La séance fut plus longue aussi. Il semblait retenir son plaisir.
. Je me mis à genoux à ses côtés et bien sûr, sa main me palpa tout le corps. Il devait connaître les points sensibles des garçons et particulièrement ceux qui sont situés sous leurs fesses. Il passait un doigt léger dans la ligne séparant les testicules de l'anus deux organes secrets qu'il n'évita pas de palper. De même mes testicules sur lesquels il passa sa langue. Je n'avais aucune honte de cet hommage. Mais il pensa que mon silence était ainsi une acceptation.
Si je reçus toujours des amis de la famille des affectueuses caresses sur les fesses, personne n’osa me proposer de me caresser comme le firent ces deux messieurs.6 Damien et Michel
A 15 heures je me retrouvais sur la plage mais mon esprit s’attardait toujours sur mon expérience vécue dans les toilettes du super marché.
J’avais toujours eu un camarade pour me branler mais aucun n’avait eu le désir d’introduire si parfaitement sa langue dans mon orifice le plus intime ! Du moins aucun ne l’avait si bien fait.
J’y ai rencontré un amateur jeune et joli ayant juste trois ans de plus que moi, mince et blond et que mon arrière train séduisit très vite. Il s’appelait Damien. Je le connaissais. C’était un élève du lycée que je fréquentais. Les choses furent plus vives avec lui. Il m’apprit des choses inconnues de moi et que je raconterai sans doute plus tard. Son index surtout me surprenait par son audace
Mais il y avait la vue des filles nudistes qui me fit espérer une entrée réelle dans la vie sexuelle que je souhaitais.. Lui aussi le souhaitait. Nous étions puceaux. A 15 heures je me retrouvais sur la plage mais mon esprit s’attardait toujours sur mon expérience vécue dans les toilettes du super marché.
J’avais toujours eu un camarade pour me branler mais aucun n’avait eu le désir d’introduire sa langue dans mon orifice le plus intime ! Du moins aucun ne l’avait fait.
Mais il y avait la vue des filles nudistes qui me fit espérer une entrée réelle dans la vie sexuelle que je souhaitais.. Lui aussi le souhaitait. Nous étions puceaux. Michel dont les parents avaient comme on le sait un appartement à la Grande Motte se prêtait souvent au naturisme de notre plage avions connu de délicieux plaisirs dans notre chambre, en allant au stade nous rencontrions quelquefois des filles et certaines se laissaient caresser. Mais caresser seulement ! Nous étions très jeunes. Elles aussi ! Nous restions puceaux ! Voilà une série d’histoires bien banales me direz-vous mais la suite l’est moins. Il était mon seul ami dans le lycée privé. J’étais heureux de le rencontrer ici. Je lui avais raconté mon aventure avec les cinq garçons et le jeune passif érotique au si jolies fesses dans lesquelles je m'étais introduit. Lui ne s'était jamais introduit dans un derrière !Une des filles de la Grande-Motte que nous connaissions nous donna un espoir fou à Michel et à moi-même ! Et elle était très jolie.
Nous pouvions enfin ne plus être puceaux ! Grâce à elle ! Nous devions la rencontrer chez Michel, ses parents étant absents pendant plusieurs jours de l’appartement qu’ils louaient dans une des " pyramides " de la Grande Motte. Nous l’attendions chez lui. Nous étions vêtus tous deux, de ses shorts d’été sans slip qui mettait nos jeunes formes en valeur comme celui que je portais habituellement. Celui que j’avais dans la galerie du supermarché ! Je lui fis remarquer que leur légèreté cachant si peu "nos formes" et même les exagérant, pouvait la choquer trop vite. Il haussa les épaules. " Elle en sera très contente tu verras, dit il avec assurance. Ça l’excitera plus vite ! "
Las ! Au dernier moment, c'est-à-dire alors même qu’elle devait déjà être avec nous, elle s’est décommandée par téléphone, nous laissant sur notre ardeur.
C’était trop tard pour changer notre programme, seules restaient notre conversation et la télé pour nous satisfaire. Mais très rapidement, c’est encore sur nos relations avec elle que nos récits se sont portés, chacun racontant plus ou moins les doux exploits qu’il avait souhaité avec elle. C’est notre commune rêverie commentée ensemble qui nous excita. Très vite mon sexe fut gonflé et un regard vers mon copain me prouvait que je n’étais pas le seul à être excité. La surprise est venue quand, ouvrant son short léger, il a commencé à se caresser, tout en continuant notre brulante conversation ; nous gardions en mémoire la chaleureuse intimité que nous nous étions prodiguée maintes fois dans mon lit de pensionnaire de bahut.
Mais là son gland était décalotté et turgescent ; en me regardant, il me dit : " Ne te gène pas, toi aussi tu bandes, je le vois ! ".
L’envie est forte. Puis se levant, choisissant une cassette, Michel se dirige vers la télé et commence alors un film porno en s’asseyant près de moi. Il ne tarde pas à se branler en regardant le film. C’était la vidéo d’un trio de deux garçons et d’une fille. Nous avions au moins la vue à défaut du physique devant nous.
" Non seulement ils baisent la fille, mais en plus, ils se tripotent allègrement ces salauds ", râlait Michel ; je dois reconnaitre que je suis moi-même particulièrement excité. Soudain Michel se tourne vers moi et ouvre mon léger short d’été, " vas-y ne te gène pas, tu en as aussi envie que moi " me dit-il en sortant mon sexe. Et il veut le branler hardiment.
Alors je quitte mon short et la tige tendue, mélangeant le plaisir et le fruit défendu, je m’offre à sa caresse. Il se penche et gobe mon sexe. Une décharge de plaisir me parcourt le corps, puis se retirant il vient me lécher, du gland jusqu’aux couilles ; sa langue, chaude et ardente me pénètre puis à nouveau il me suce en me malaxant les boules, les tirant en arrière ce qui me provoque une première jouissance ; je sens mon plaisir monter et j’essaie de me retirer, mais il m’agrippe, avalant ma semence jusqu’à la dernière giclée.
Mon corps est parcouru de frisson et je réalise que je viens de jouir grâce à lui plus fortement encore que lorsque nous étions en internat. Plus fortement qu'avec Le petit Gilou que j'avais pénétré après cinq autres garçons. Sa peau est douce, une goutte perle au bout du méat ; je la caresse, fébrilement, essayant de lui apporter le même plaisir. Pour lui cela ne suffit pas et me prenant les cheveux, il me fait pencher sur ce sexe qui m’attire. Maladroitement je le suce, j’ai soudain envie de le faire jouir et de boire sa liqueur comme lorsque nous étions pensionnaires. Je découvre un nouveau plaisir et mon ventre est envahi par une douce chaleur ; je sens bientôt son membre parcouru de spasmes et ses jets s’écrasent dans ma bouche ; surpris je ne peux tout avaler et me redressant, Michel me lèche les lèvres, puis c’est un véritable baiser. Sa langue me fouille la bouche ; d’abord rétif, je lui réponds, et c’est un véritable baiser d’amoureux qui nous unis, long et langoureux.
" J’ai envie de toi, viens …….. ". Me prenant par la main, il m’entraine vers sa chambre. Sur le parcourt nos vêtements sont vite quittés et c’est complètement nus qu’il me renverse sur le lit, sa bouche avalant à nouveau ma queue bandée par l’envie.
Sa langue me parcourt la tige puis, m’écartant les cuisses, il investit mon sillon ; quand sa langue me touche la rondelle, je ne peux retenir un long gémissement de plaisir ; un jet de salive atterrit sur mon orifice. Un doigt vient en titiller l’entrée ; quand il s’incruste, je ne peux retenir une crispation, appréhendant la douleur, mais il reste doux et bientôt son doigt me pénètre, dilate le conduit qui doucement s’élargit et c’est bientôt un deuxième doigt qui me pénètre ; il n’y a plus de crainte, je sais qu’il va me sodomiser et j’ai envie d’être sa chose.
Me mettant à plat ventre au bord du lit, j’écarte bien mes cuisses comme je l’avais vu dans une vidéo. Son gland vient doucement frotter mon trou, glisse sur l’entrée puis remonte le long du sillon, avant de percer doucement la résistance. Là mon conduit se dilate et sa queue me pénètre, lentement, fermement. Je pousse un grand cri très vif. Son gland vient d’écarter des résistances ultimes. Michel s’arrête. La douleur s’apaise. C’est moi qui balbutie " pardon c’est idiot de ma part, continue ! " La douleur du début a presque disparu, laissant place à une montée rapide du plaisir d’être pris par Michel ; bientôt ses couilles viennent frapper les miennes ; ressortant sa queue, il recommence mais cette fois il me percute puissamment, s’enfonçant d’une seule traite et commence alors une baise, rapide, profonde jusqu’à la garde à chaque coup de sa queue.
Je gémis, sous les coups de butoir, j’encaisse sa queue avec bonheur, je cambre mes reins pour qu’il aille plus loin, plus fort ; ma queue tendue me fait mal, j’ai envie de jouir, mais j’ai aussi envie que le plaisir dure ; puis c’est la délivrance ; il se cabre et son organe me déverse ses flots de sperme. Ses jets, nombreux et chauds me frappent les entrailles et soudain c’est moi qui explose, je crie mon bonheur et j’éjacule sans m’être touché.
Repus de plaisir, nous nous sommes reposés l’un contre l’autre. Et c’est à plusieurs reprises après mettre fait plusieurs fois pénétré que je voulu repartir, sachant maintenant que j’aimais me faire prendre ... du moins par le derrière.
- Mais je reste puceau pour les filles, lui dis-je. Je n’ai fait que caresser des filles dans une dune de la plage naturiste. Une m’a branlé mais sans se laisser pénétrer. Mais maintenant grâce toi je ne suis plus puceau du derrière !
- Moi, par contre répond Michel je suis toujours puceau ... et des deux côtés ! Toi, j’aimerais que tu me fasses ce que je t’ai fait ! Tiu l'as déjà fait à d'autres !
- Oui dis-je, c’est bien normal, je te baiserai mais parce que... vois-tu.... je t’aime !
Au bout d’un long moment alors que le film remis dans la télé nous excite à nouveau je tente de le caresser. Nous sommes toujours nus. L’appartement est à nous toute la nuit et même demain ! Je téléphone à ma mère que je suis chez Michel et que je souhaite rester chez lui jusqu’à demain. Elle le connaît. Elle sait que ce garçon est mon meilleur copain, elle connaît ses parents, elle sait que Michel est sérieux et elle accepte de me savoir avec lui.
Je sens que Michel malgré son désir doit attendre. Nous nous habillons d’un tee-shirt et de nos shorts légers pour aller dans le petit restaurant au bas de l’immeuble en pyramide. Mais avant je consulte ma montre et lui dis :
- Attends moi là ! La pharmacie n’est pas encore fermée !
- Mais pourquoi faire ?
- Tu m’as bien dit que tu voulais être baisé ...par moi... alors j’en ai envie.
- Oui, mais nous n’avons pas besoin de préservatif !
- Pas de préservatif mais de lubrifiant ce que j’aurais du avoir dans le cul quand tu m’as baisé. Parce que j’ai eu mal ! Reste là. Le lubrifiant sera pour toi et puis tu sais bien que j’ai une très grosse bite. N’y entrons pas tous les deux ça serait choquant puisque nous sommes deux garçons !
Je ressors avec deux tubes dans la main. Puis nous entrons dans le restaurant.
Il y avait déjà un peu de monde ce soir mais nous trouvons une table retirée et doucement notre conversation devient des plus érotiques. Il me dit qu’il m’aime. Il veut que je lui ouvre bien les fesses pour les lui remplir de mon jus tant que je le souhaite. Il sait que ma verge est de bonne dimension c’est alors que l’idée d’avoir acheté du lubrifiant lui parait géniale ! Cette conversation nous chauffe et restaurés ; nous nous apprêtons à sortir. En traversant la petite salle de restaurant nous regrettons de n’avoir revêtu qu’un short si léger ! Nos organes pointent dans notre petit vêtement. Le garçon de la caisse sourit. Nous cherchons à sortir vite mais les autres dineurs peuvent voir notre érection ! Et puis nous avions posé nos deux tubes sur la table et le mot largement écrit en dénonçait l’usage. Tous avaient pu le lire. Notre honte fut plus grande quand nous sommes passés devant tous, la bite raidie dans nos slips légers. Notre public nous regardait en fait avec étonnement et tendresse. Disons que lui et moi sommes de très beaux garçons. Je suis sûr qu’ils enviaient les lignes de notre corps et notre jeunesse. Michel sait maintenant que je vais m’occuper de son derrière et doit en frémir !
C’est dans cet état que dès l’entrée dans l’ascenseur nous quittons ces caleçons inutiles qui trahissaient nos désirs. Michel est allé chercher une boisson. Nu à nouveau je caresse son dos. Il s’est appuyé contre le bord du lit sur un gros oreiller. Ses fesses sont à la hauteur de mon organe. Il écarte ses cuisses. J’ouvre les hémisphères souples de son derrière. Ma langue s’y introduit. Il gémit doucement, la tête contre le lit. Son plaisir est intense. Je le sais. Je fais ce qu’il m’a déjà fait et mon plaisir est intense aussi. Son anus est plein de ma salive. Je vais lui ajouter une bonne dose de lubrifiant. Je débouche le tube et le lui introduis directement. J’appuie lentement sur les flans du tube tout en le retirant lentement. Je sais que je lui ai empli l’orifice d’une bonne dose. Mon doigt s’y introduit aussi. Il resserre instinctivement ses sphincters. Je lui dis de se détendre au maximum. J’y fais pénétrer mes deux doigts, puis trois. Il est bien maintenant détendu. Je mets un peu plus de lubrifiant dans son orifice bien ouvert.
Je sais, qu’en raison de mon organe fortement proportionné pour mon âge, ma pénétration devra être lente. Je ne veux surtout pas qu’il ait mal.
Je me branle pour faire revenir une bonne érection. Je fais promener mon gland autour de son anus. Je le fais pénétrer mais je sens la résistance naturelle de son orifice.
Je pousse. Je le vois mordre l’oreiller en silence. Il ne dit rien mais il doit avoir un peu mal. Je sais qu’il faut pénétrer vite. Il pousse un cri ! Je ne bouge plus. Je le rassure. Il me dit de continuer. Que c’est supportable. Je m’enfonce lentement. Il me dit ne plus avoir mal. Qu’il est très bien à l’aise.
Oh que j’aime le pénétrer ! Je le lui dis ! Il me dit de continuer. Maintenant ce sont des va-et-vient faciles. Mon organe raidi et brûlant de désir, glisse dans le lubrifiant ! Il me dit qu’il aime ça. Il gémit en disant "oh ! je t’aime ! ". Il le répète sans cesse ! Je fais durer l’opération. Pour lui. Pour moi aussi ! Puis je l’avertis que je ne vais pas tarder à éjaculer ! " Oui vas-y !vas-y ! vas-y !... " je pousse un cri de plaisir. Plusieurs jets se propulsent en lui. Je le lui dis. Il est pleinement heureux. Je reste en lui. Ma tige se ramollit lentement. Et tout aussi lentement je me retire. Ce sont nos bouches maintenant qui se joignent.
- Voilà lui dis-je tu n’es plus totalement puceau. Mais pour les filles nous sommes encore deux puceaux. Nos bouches se joignent encore. Je vois quelques larmes dans ses yeux. Il me demandera deux fois encore de le " prendre ". Dans la nuit.
7 La cousineLe lendemain il vint chez nous et comme le désirait ma mère il resta nu sur la terrasse près de moi. De retour à la maison je me sentis si fatigué que je m’endormis dans ma chambre à la fin du repas de midi. Une heure de sommeil nu sur mon lit me suffit pour me retrouver plein de force. Il n’y a plus personne que moi à la maison. Tous sont partis soit sur la plage soit en promenade en voiture dans l’arrière-pays. Ils allaient surtout à Aigues-Mortes.
En sortant de ma chambre, j’étais donc revêtu de mon short léger qui était presque un maillot de bain, mais qui était aussi le seul vêtement que ma mère m’imposait à l’intérieur de la maison. J’ai déjà dit qu’admirative de mon corps, elle préférait me voir nu sur les terrasses au milieu de tous et légèrement vêtu à l'intérieur.
En fait je m’aperçu que je n’étais pas seul. Comme tous les jours à cette heure, une cousine lointaine, invitée pour peu de temps venait prendre sa douche dans une salle de bain proche de ma chambre. Je la connaissais peu. Je l’avais vu passer à cette heure. Elle avait 18 ans, n’était pas jolie mais avait un corps très bien fait. Je venais de la croiser alors qu’elle était en maillot de plage pour se diriger ver la salle d’eau. Elle m’avait adressé un sourire dans grâce. Pieds nus et revêtu de mon seul petit short je longe maintenant le couloir. J’entends le bruit caractéristique de la douche que j’imagine ruisselant sur son joli corps. C’est là que je m’aperçois que la porte de la salle d’eau n’est pas totalement fermée. Une ouverture plus grande de deux doigts me permettrait de la voir nue. L’excitation est trop forte. J’entrouvre la porte et là je la vois parfaitement nue debout dans la baignoire, sous la douche. Je baisse déjà mon short, dégage mon organe raidi et amorce une masturbation devenue impérieuse. Je vais me masturber ainsi, follement excités et je sortirais ensuite sans bruit. Mais pourquoi cette porte n’est-elle pas fermée ? Alors qu’elle n’est pas seule dans la maison puisqu’elle vient de me croiser en m’adressant un étrange sourire ? Je ne me suis pas posé tout de suite ces questions. C’est un peu plus tard que je comprendrai le piège dans lequel j’étais tombé. La cousine avait-elle un désir d’exhibition qui ne pouvait que me provoquer ? La masturbation que je viens de commencer en regardant la cousine nue m’ôte tout bon sens. Qui plus est, elle m’ôte toute habileté. Mon short tombé sur les talons m’ôte aussi la stabilité nécessaire au petit exercice érotique entrepris. Pour ne pas chuter je dois m’accrocher instinctivement à la poignée. Le bruit incongru de la porte fait sortir la cousine de la baignoire. Entravé par mon short je suis immobile alors qu’elle a déjà ouvert et me vois dans cette attitude qui ne laisse aucune excuse. Je n’eus pas le temps de fuir. Ma cousine, faisant fi de sa nudité, sortit et me saisit par le bras, mon short descendu sur mes chevilles et mon membre gardant sa fierté… Tout m’accusait !
Elle m’attrape le bras. Elle m’impose ses conditions : ou le scandale par sa plainte auprès de ma mère ou la fessée que je mérite mais qu’elle veut me donner elle-même et tout de suite. On comprendra que j’opte pour la fessée. Elle me fait entrer dans la salle d’eau. Elle sait que je suis à sa merci. Toute la maisonnée est sortie non sur la plage mais dans l’arrière pays. Nous sommes seuls.
Elle me fit entrer dans la salle de bains. Ce n’était pas par sa force physique qu’elle s’imposait face à un garçon de 15 ans ! En fait, j’avais peur du scandale qu’elle pouvait faire et m’accabler ainsi. Dans la salle de bains, que cette fois elle ferma au verrou, elle me mit le marché en mains : elle me dénonçait à la famille ou elle me donnait une bonne fessée. Et cela pendant trois après-midi de suite. Il est évident que je choisis d’emblée les trois fessées, solution qu’elle semblait visiblement préférer. Je devrais recevoir ce châtiment totalement nu et elle me descendit elle-même mon maillot en me commandant de poser mes deux mains sur le bord de la baignoire.
Alors restant nus tous les deux elle m’ordonne d’appuyer mes deux mains sur le bord de la baignoire. Ce que je fais. Mes fesses sont bien dégagées mais à sa réflexion cette attitude n’est pas la meilleure. Je suis déjà grand de taille et mes fesses ne sont pas à la hauteur du châtiment qu’elle veut m’infliger. Je dois placer mes mains sur l’autre bord. Celui qui est contre le mur. J’obtempère.
Je suis dans la position parfaite pour la fessée.
Je m’aperçois que par un jeu de miroir je peux voir mes fesses prêtes pour la douleur bien méritée ! Elle veut perfectionner et me fait écarter les cuisses. Par le jeu de miroir je vois entre elles mes organes pendants qui, comme on le sait déjà, sont gros et pendent bien. Je crains même que le châtiment vienne les frapper aussi ! Ce serait intolérable mais possible ! Je vois toujours par les miroirs ma fesseuse nue qui semble prendre beaucoup de plaisir par ces seuls préparatifs !
Elle contemple maintenant sa victime ! . Mes cuisses écartées découvraient mon sac de testicules qui pendait et ballotait. Je n’osais pas lui désobéir. Rendu docile par cette position, j’attendais. Après qu’elle eut passé sa main sur mes fesses comme pour en prendre possession et bien contrôler ma position, je me mis à frissonner lorsque je sentis sa main mouillée se poser sur mes fesses et … Elle soupèse mon sac de testicules qu’elle fait rouler doucement dans ses doigts.
Elle me prend la verge qu’elle attire vers l’arrière. Ma verge est molle. Je la laisse faire car je crains une réaction méchante. Elle mordille ma fesse. J’ai un peu mal.
Elle me pince un peu ma chair dodue. la fessée démarra. Je sens sa main qui semble prendre possession de mon derrière. C’était un peu douloureux mais supportable. Je gémissais sans trop de conviction. Elle me fessait par séries de dix claques, puis observait une pause avant de recommencer. J’entendais le bruit retentissant de sa main frappant mes fesses. C’était maintenant plus sévère. Jamais je n’aurais pu croire qu’une jeune fille pût fesser aussi fort. Je sentais mes fesses chauffer de plus en plus au point que la cuisson devint rapidement insupportable. Après quelques dizaines de claques j’étais en larmes et en gémissant la suppliais d’arrêter. Elle me punit d’une bonne centaine de claques. Elle avait été extrêmement sévère. Elle eut vite mal à la main et continua avec une brosse à long manche de bois. La douleur devint alors plus vive et sans doute mes fesses virèrent-elles au rouge vif ! Mes gémissements étaient ceux de la souffrance, mais j’étais pris entre la douleur et l’excitation sensuelle… Des bouffées de parfum chatouillaient mes narines contribuant un peu plus à mon trouble car je sentais des palpitations et un raidissement inattendu. Elle arrêta pour examiner mes fesses. Puis une série de coups est appliquée sur tout mon derrière. Je gémis. Je sais bien qu’elle attend ces gémissements. Qu’elle souhaite les entendre. Je vais gémir pour lui plaire et peut être pour limiter le temps du supplice !
Mais peut-elle être attendrie par mes gémissements ? Ceux d’un garçon dont tous admirent le joli corps nu comme on admire celui de Michel alors qu’on ne s’aperçoit jamais de sa présence de parente pauvre.
Elle insiste. J’ai mal. Je supplie. Je pleure ! Je crois que sa nature étrange prend du plaisir à la douleur qu’elle me procure ! A-t-elle jamais eu une telle occasion ? Elle crie maintenant : « Tiens polisson ! Tiens puisque tu es si beau ! »....
Ses paroles sont absurdes elle s’en rend compte mais continue à fesser. Elle est tout près de moi et frappe encore. Une impression étrange m’a saisi. Ma verge se raidit. Elle le voit. Cela l’excite d’avantage. Ma verge est longue et bien horizontale. Elle le voit et s’en étonne. Sa fessée se ralentit. Mon organe se tendait avec force. J’avais mes deux mains posées au même endroit. Mon érection était terrible. Elle me dit que la fessée en amenant le sang vers cet organe en était la cause. Et brutalement, sa main pétrit vigoureusement mes fesses, et là le plaisir me foudroya. Sans toucher à mon membre, plusieurs giclées de sperme couvraient les briques noires au dessus de la baignoire et coulaient lentement.
Elle observe ce membre raidi alors que mon organe fait jaillir un nombre impressionnant de jets de sperme qui vont ruisseler sur les briques de faïence noire et brillante du mur. Plusieurs ruisselets blancs s’écoulent lentement. La fesseuse s’est arrêté. Elle est stupéfaite. Le joli garçon que je suis sait donc faire des prodiges ! La cousine n’a pas lu les « Confessions » de Jean-Jacques Rousseau ! Elle ignore le personnage de Mademoiselle Lambercier. Va-t-elle tomber à genoux devant un tel prodige ?
Tous deux étions stupéfaits. L’instant d’après, nous éclations de rire. Le ton était changé… Elle me proposa pour le lendemain, une fessée " érotique ". Après réflexion j’acceptai. Il n’était plus question pour elle de "me punir" mais de palper, de mordiller et de masser tout mon corps, avant de m’appliquer la fessée à la main qui m’amenait à l’éjaculation la plus vive …
Elle préfère caresser ma croupe. Cela lui plait. Comme si ce flot de sperme lui rendait hommage. Nous nous arrêtons un long moment. Mon organe est toujours raide. J’ai toujours mes deux mains appuyées sur le bord. Je reste docile. Elle me dit de la suivre dans sa chambre. Elle ne veut plus me punir bien au contraire ! murmure-t-elle. Je la suis aussi docilement que pour la fessée après avoir repris mon short au passage. Nous restons nus l’un et l’autre. Sa voix est devenue douce. Nous sommes maintenant ensemble près de son lit. Elle m’invite à m’allonger à plat ventre. Elle a trouvé un tube de brème adoucissante. C’est elle qui me la passe doucement sur les fesses. Elle s’excuse. Me dit que je suis si joli garçon ! Je lui souris. Après tout je la plains un peu. Mais ses mains vont bien au-delà des fesses. Elle caresse tout mon corps. Elle me caresse les fesses, puis m’ayant fait retourner elle me caresse la verge. Oui je la plains un peu de l’indifférence qu’on lui manifeste ici. Elle renifle un peu comme un sanglot. Elle me raconte pourquoi elle est ma cousine. Oh une cousine bien lointaine ! Le lien est bien compliqué ! Je feins de tout comprendre. Je m’approche de son visage assez ingrat et lui pose un baiser sur la joue. La voilà qui font en larmes. Elle sanglote. Elle m’attire contre elle. Nous constatons à peine que nous sommes nus tous les deux. Tout l’attendrit maintenant. Je constate que sa tendresse qui fut toujours cachée peut être réelle. Par moments. Je constate encore qu’elle a un joli corps. Elle m’attire vers elle avec une émotion qui ne m’étonne plus.
- Que tu es beau ! , soupire-t-elle. Que j’aurais voulu que tu me connaisses mieux ! Que tu sois un vrai cousin pour moi ! J’ai connu des garçons mais pour baiser. Ils me laissaient vite tomber ! Je dois partir dans deux jours, tu ne le sais même pas sans doute !
Elle passe toujours sa main sur moi comme un objet précieux. Allongé près d’elle elle ne voit pas que ses caresses me font bander à nouveau. J’ignore pourquoi mais je bande sans bouger mais je bande très fort.
- Je n’ose pas dire ce que j’aimerais faire avec toi...lui dis-je doucement.
Comme si elle avait tout compris elle me regarde. Son visage sans grâce est devenu joli !
- Tu voudrais me faire l’amour après tout ce que je t’ai fait de mal !
- Oui mais si tu le veux vraiment, si ça te fait plaisir ...bien sûr...
- Mais tu serais un des plus beaux cadeaux de ma vie !
- C’est gentil parce qu’il faut que je te dise ... j’ai jamais fait l’amour à une fille.
- C’est normal, tu es si jeune ! Je ne mérite pas d’être la première fille de ta vie. Celle qu’un homme n’oublie jamais ! Mais moi j’en suis la plus heureuse !
La tendresse dominait tout maintenant. Tout ce que je puis ajouter au récit c’est que ce premier amour avec une fille fut délicat et délicieux et je m’interdis d’ajouter autre chose.
- Je ne pensais pas que j’aurais l’occasion d’initier un garçon vierge. C’est ma chance aujourd’hui. J’aime les garçons vierges, moi qui n’en ai jamais connu !
- C’est plutôt bouleversant pour moi ! J’ai un ami de mon âge qui est vierge aussi. Ce serait aussi sa chance à lui...si tu voulais bien. C’est Michel, mon copain. Tu le connais pour l’avoir vu souvent chez nous. A la demande de ma mère qui pense qu’un jeune de notre âge doit être nu comme un bébé, il est nu comme moi sur les terrasses.
Dès le soir je racontais cette anecdote à Michel qui prit cela avec un étrange sérieux.
- C’est quelque chose que je voudrais bien connaître, vois-tu. Et puis telle que je la comprends elle n’a pas dû baiser souvent. Ça doit lui manquer. Elle est heureuse de te séduire, de te " torturer " un peu à sa façon, mais elle voudrait bien être baisée. Parle-lui de moi aussi. On pourrait lui faire ce qu’elle souhaite. Nous ne serions plus puceaux l’un et l’autre !
Dès le prochain rendez-vous érotique avec la vicieuse cousine je lui confiai que j’étais puceau et aimerai obtenir d’avantage d’elle.
- Petit cochon ! Que fais-tu avec ton copain Michel ? Il est puceau lui aussi ?
- Oui comme moi. Alors on se caresse un peu. On se fait sortir notre "petit lait " … Mais on aimerait mieux que ça et …
- Vous êtes de petits vicieux, dit-elle avec un sourire qui semblait préparer sa nouvelle affaire, mais il y a de vieux vicieux qui paieraient cher pour avoir ton cul ou celui de ton copain.
- Oui je sais. Quand je suis étendu sur le sable il y en a qui viennent se branler en douce dans leurs serviettes à côté de moi en regardant mes fesses.
- Mais tu n’as jamais baisé ton copain ?
En hésitant je lui avouai que nous nous étions prêté nos fesses mais que nous étions puceaux.
- Et bien viens me baiser dans ma chambre. Je te montrerai ce que tu dois faire à une fille.
Elle sembla étonnée de la bonne dimension de mon organe que pourtant elle avait vu en me fessant. Elle écarta ses cuisses et j'eu le plaisir partagé de la pénétrer longuement. Elle gémissait sans faire semblant.
- Voila. Maintenant tu n’es plus puceau et tu baises bien. Je recommencerai volontiers demain mais si ton copain le désire aussi amène-le demain à la même heure. Maintenant allons-nous laver.
Elle profita de notre douche pour m’administrer une fessée. Elle aimait ça et fut étonné de me voir bander de nouveau mais ne souhaitait pas reprendre de nouveaux ébats sur son lit.
- Va faire profiter ton copain de ton trop-plein, dit-elle en se rhabillant. Mais n’oublies pas de me l’amener ici s’il est puceau. J’aime les puceaux !
Le soir même j’informais Michel. Le lendemain à 16 heures nous étions dans la villa. Seuls. Mais nous vîmes arriver la cousine qui nous sourit. Elle connaissait déjà Michel pour l’avoir vu avec moi tout nu. Elle portait son maillot de bain et pour prendre sa douche nous invita dans la salle de bain. Dans nos maillots nos membres en érection montraient une impatience mal dissimilée. D’ailleurs dès notre entrée elle fut vite nue et nous invita à faire de même.
- Je vous fais déjà bander ? Vous êtes encore des gamins excités ! Toi tu t’appelles Michel je le sais. Et tu es puceau. Je sais que vous faites l’amour entre vous par vos fesses ! Vous n’êtes pas les seuls à vous satisfaire ainsi entre jeunes garçons ; mais ce doit être joli à regarder. Michel, laisse-moi te toucher partout ! J’adore les puceaux !
Elle le pelota à m’en rendre jaloux. Elle le faisait même gémir. Son membre me paraissait plus gros !
- Tu vas lui faire sortir son "petit lait", dis-je. Il est sensible au toucher ! Allons dans la chambre pour faire vraiment l’amour.
- D’accord mais c’est Michel qui me prendra le premier. Tu attendras ton tour !
Nous passions dans sa chambre, en ayant soin d’emporter nos maillots pour se prémunir d’une entrée non attendue dans la maison.
A peine était-elle couchée que Michel s’étendit à ses côtes et la caressa comme un grand ! Elle le fit s’étendre sur elle, cuisses bien écartées. Son intromission que la cousine guidait de ses deux doigts fut presque immédiate. Je voyais frémir les fesses de Michel. Il poussait de petits cris. La cousine bombait les reins. J’étais si excité que le temps me sembla très long. Puis Michel poussa un cri plus strident. Il éjacula longtemps … La cousine repoussa doucement Michel. Elle semblait toujours très excitée. Je savais que dans l’état d’excitation où l’avait mise Michel, je la ferai jouir assez vite. Elle m’appela. J’occupai la place restée chaude et moite de Michel. Excité moi-même depuis un long moment je m’introduisis dans le sperme chaud de Michel et je fus aussi plus rapide à jouir. Mais le cri qu’elle poussa me fit comprendre qu’elle était arrivée au sommet de sa jouissance.
Nous nous sommes assis en discutant gentiment. Elle complimenta Michel pour son joli membre. J’étais tout près d’elle. Elle m’apostrophe :
- Toi tu n’as pas reçu ta fessée, je n’oublie pas que tu dois la recevoir tous les jours comme promis. Jusqu’à mon départ demain. Lève-toi devant moi et devant Michel !
Je lui présentai mes fesses et je reçu quelques claques cinglantes qui me firent bander aussitôt.
- Tu vois Michel, tape-lui sur le cul quand tu veux l’exciter. Mais je suis sûre que maintenant il est prêt à te pénétrer si tu l’autorise. Moi, j’aimerai vous voir faire ça. Je ne crois pas que vous me refuserez ce joli spectacle.
Michel hésita un peu mais ne voulant pas déplaire à la cousine il s’exécuta. Il se leva et posa son torse sur le lit ! Ses fesses étaient plus excitantes que jamais. La cousine s’était rapprochée pour ne rien perdre du spectacle. Je suis maintenant contre lui. Je lui embrasse le cou et le dos. Il écarte ses cuisses. J’écarte bien ses fesses et lui lèche son orifice intime en le couvrant de ma salive. Il est déjà excité. La cousine s’est rapprochée. Son observation rieuse nous excite d’avantage. Je n’ai pas besoin de lubrifiant. Ma salive suffit. Je le pénètre lentement. Il lui faut peu de temps pour trouver le plaisir. Sa tête se renverse un peu en arrière contre moi. Ma bouche rencontre la sienne. Mais je lui demande un changement de position en l’invitant à s’allonger sur le dos. Je tiens ses jambes et les fais reposer sur mes épaules. Je reprends ma caresse buccale sur son trou intime puis je le pénètre brusquement. Mes va-et-vient sont rapides. Michel arrive vite à son point de jouissance. Moi aussi. Il se branle doucement. Ses gémissements et son souffle s’accélèrent. Nos gémissements deviennent des râles. La cousine voit maintenant jaillir le "petit lait" de Michel qu’il dirige sur son ventre ! Il jouit en poussant un souffle, et dans un cri spontané, c’est moi qui lui remplis le cul. J’ai dû lui envoyer tant de sperme qu’il en ressort un peu de son trou. Je prends la serviette pour l’essuyer.
La cousine se tourna vers Michel : "Tu as jouis comme une fille ! Bravo à tous deux".
Puis elle nous rappela qu’elle devait partir demain. Nous nous sommes quittés amicalement.
Le lendemain matin alors que je dormais encore, ma mère la conduisait à la gare de Montpellier à dix kilomètres de là pour prendre le TGV de Lyon. Ma mère m’avoua qu’elle avait été étonnée de son silence entrecoupé de remerciements vifs et du baiser affectueux qu’elle reçut d’elle.
C’est ainsi, mais le lecteur y mettra son jugement, que je connu ma première relation sexuelle avec une fille, et pourquoi ne pas ajouter un peu sentimentale. Oui, c’est avec elle que j’eu cette relation que l’on n’oublie jamais dans la vie. Avec que l’on oubliait toujours pendant les vacances ! Je ne l’ai jamais rappelé à Michel alors que j’avais vu le bonheur qu’il avait pris. Je pense souvent avec nostalgie à ces fameuses fessées. J’avais 15 ans à cette époque il est vrai. Mais si je me fie à l’expérience, je sais qu’on peut faire bander et même éjaculer des garçons de cet âge quand ils reçoivent une fessée. Toutefois le départ de ma "cousine" me délivrait. Grâce à elle, je n’étais plus puceau. Michel non plus. Nous l’avions souhaité et notre pucelage fut ainsi enterré !Ces premières amours que nous eûmes tous deux avec la même fille ne laissaient place à aucun commentaire. Ils auraient été insuffisants tant ils changeaient notre jeunesse. Par la suite nous avons eu des amies communes. Des amies, que nous pratiquions tous les deux, sans aucune jalousie ; il faut dire qu’elles avaient du tempérament, et il leur plaisait de nous avoir tous les deux ensemble pour amants, nus dans son lit, sans aucune complication, et tout pour le bonheur de tous. Notre complicité et notre envie d’aller plus loin, nous amenait à organiser à la posséder ensemble. C’était dans l’appartement des parents de Michel qui partaient souvent. Ma mère me laissait toute liberté sachant que j’étais chez Michel en l’absence de ses parents qui avaient donné leur accord.
8 La voisine de Michel
Michel, tout comme moi, n'étions plus puceaux. Mais nous n'avions pas l'âge à attirer les filles. Mais nous avions l’un et l’autre de jolies fesses et nous savions que c’était les hommes qui venaient à nos côtés pour les contempler en chuchotant près de nous des propos obscènes et même la proposition d’aller avec eux dans le sable des dunes. Je gardais le silence. Ils s’excitaient, se masturbaient contre leurs serviettes et éjaculaient. Certains me l’avouaient à voix basse.
Michel logeait dans le studio que ses parents lui avaient laissé pendant leurs croisières. Instruits et provoqués par des vidéos pornographiques que nous regardions chez lui tous les deux, nous trouvions des satisfactions sexuelles par nos corps. Ils avaient certains aspects féminins et notamment nos fesses bien faites et notre absence de pilosité à l’exception d’une petite toison fine au dessus de la verge. J’allais le rejoindre après le repas du soir. Il m’attendait déjà nu et déjà excité. Les vidéos nous portèrent tout d’abord des masturbations réciproques. Puis assez vite nous sommes passés à des caresses plus spéciales : il me faisait coucher sur le ventre pour passer son membre entre mes fesses en le frottant seulement contre moi; je recevais assez vite son sperme sur mon dos et mes fesses qu’il m’essuyait ensuite. Je faisais de même sur les siennes.
Puis il prit l’initiative de pénétrations anales comme celles que nous avions vues sur les vidéos. Seule sa première pénétration même en étant bien « huilée » me fit vraiment très mal. Cela interrompit un instant nos ébats. Quelques minutes après pendant qu’il reprenait ses caresses sur mes fesses je lui dis de reprendre son acte interrompu.
Puis elles nous ont donné des plaisirs intenses. Michel savait bien écarter son cul. J’appris pour lui plaire à faire de même et me prêtais à lui dans toutes positions. Déjà lavés par nos baignades nous prenions une douche dans son studio. C’est Michel qui dirigeait lui-même le jet qui était comme une caresse. J’écartais les cuisses. Il me demandait d’écarter mes fesses et il dirigeait le jet dans mon orifice intime.
Je compris très vite ce geste quand je sentis sa langue dans cet endroit précis qu’il savait lécher adorablement ! Cette caresse m’excitait au plus haut point. Je l’encourageais par mes râles de volupté et me mettais dans les positions les plus favorables à l’intromission de sa langue suivie de celle de son sexe.
Il me claquait mes fesses bruyamment et avait remarqué que j’aimais tant cela et que ce geste me faisait naître déjà une érection. Puis il me faisait allonger sur le dos tout au bord de son lit, relevait mes cuisses et introduisait sa verge encore mouillée.
Mais malgré ce bonheur à deux, nous aurions bien voulu baiser une fille ! Ne plus être puceaux !
J’allais chez lui après le repas du soir. Je rentrais, fatigué par ses caresses et ses longues et nombreuses intromissions. Il aimait aussi les miennes. Ma liaison avec Michel dura longtemps. Nous étions dans le même lycée. Mes parents avaient la maison toute proche de la plage nudiste et ses parents étaient propriétaires de cet appartement d'une pyramide à la Grande Motte. En leur absence, et pour nos plus grands bonheurs ils le laissaient seul à Michel pendant plusieurs semaines. J’allais le voir à la même heure ou quand il m’appelait sur son portable. Dans ce dernier cas il ne verrouillait pas sa porte. Je savais déjà qu’il m’attendait nu les fesses ouvertes sur le lit. Je me dénudais sur le champ en une minute pour se blottir contre moi. Il aimait surtout être pris par les fesses et semblait ne jamais s’arrêter de jouir de moi. Il comprit vite qu’il pouvait me redonner une nouvelle vigueur en me claquant les fesses. Il semblait d’ailleurs y prendre plaisir. Nous buvions de temps à autre un jus de fruits.
Un jour et avant même notre rendez-vous à nos ébats il me dit par téléphone: « j’ai rencontré une fille dans l’immeuble. Je l’avais déjà vue, mais elle me regardait toujours, et tu vas comprendre quoi. J'étais avec elle dans l’entresol qui est abrité des regards. Elle est très jeune. Pas joli ! oh non la pauvre ! Mais dans la conversation j’ai compris qu’elle était vicieuse comme une petite truie. D’ailleurs elle ne cessait pas de me regarder l’entrejambe alors que j’étais en maillot de bain. J’en étais gêné mais malgré tout, c’est son regard qui m’a excité ! C’était tellement indécent que j’ai cru que je pouvais la caresser. Et bien non ! Ce qu’elle voulait voir et elle me l’a dit crument c’est voir les garçons quand ils bandent ! Elle voulait que lui montre tout. Sans attendre j’ai descendu mon slip. Là je bandais fort. Elle a juste touché un peu. Je lui ai dit qu’elle devrait me branler. Mais non ! Alors je lui ai dit qu’elle pouvait regarder deux garçons ensemble et qui bandent ! Que mon copain allait venir et qu’on aime se caresser entre garçons. Elle n’a pas eu d’hésitation. Elle m’a dit qu’elle t’avait déjà vu ici. Oui elle voulait ! …. Alors si tu veux venir… devant elle…elle est discrète… elle est voyeuse c’est tout »
J’avoue avec un peu de honte n’avoir pas hésité longtemps ! Mais après tout c'était moi qui l'avais conduit se faire dépuceler par la cousine. Étais-je devenu totalement vicieux moi-même ? Je l’étais déjà sans doute car j’allais m'exhiber avec Michel devant une jeune spectatrice que je ne connaissais pas. La chose m'excitait déjà. Il me raconte qu'il s’est débrouillé pour revoir la fille et lui dire le moment où j’allais venir. Il a lui même son plan. Il invite la fille chez lui en lui disant que j'allais venir. Il lui servirait à boire. Il essaierait de bavarder un peu avec elle mais en gardant son slip de bain. Il racontera des histoires intimes qui devaient un peu la chauffer. Elle n’était pas bavarde mais on sentait qu’elle avait de gros besoins. Elle regarde l’entrejambe de Michel dès qu'il lui a proposé même de se mettre nu devant elle et même de se branler un peu avant que je n'arrive. Non, elle attendait cette rencontre érotique entre deux garçons. Elle avait vu une vidéo où deux garçons se pénètrent mais pour elle une vidéo la laissait indifférente. C’est souvent le cas chez les filles. Elle voulait voir du vrai !
J’ai heurté discrètement à la porte. Michel, toujours en slip et non pas nu comme souvent, se comporta en gentil copain et me présenta à sa voisine. Elle était vêtue si l’on peu dire d’un maillot deux pièces mais dans cet immeuble si proche de la mer le maillot de bain était le vêtement le plus banal en après-midi. Elle avait un peu le sourire sur un visage ingrat. On s’est tutoyé sans peine !
Pour ma part je m’étais composé une attitude. Je compris que nous devions rester en slip un moment et bavarder à trois un bout de temps. Donner un soupçon de gaieté à une fille qui semblait n’en avoir guère. Des propos légers sur les petits désirs que la plage nous suscitait. Puis trouver un petit prétexte pour nous mettre nus devant elle sans plus… comme une évidence. Ma trouvaille fut de ressortir quelques souvenirs érotiques entre copains d’internat. Nos douches collectives … la nudité dont nous étions coutumiers, puis nos érections ....cela devaient déjà la soulever ! Enfin mes souvenirs d'internat me conduisaient à évoquer les masturbations comme des normes joyeuses chez les garçons. Et même plus … si vous voyez…
En effet la voyeuse voyait… déjà !
Elle participait maintenant à la chaude conversation. Elle ne connaissait pas les douches à plusieurs ! Elle se souvenait d’avoir vu longuement mais en cachette un de ses cousins se masturber dans une cabine de douche ouverte. Il prenait visiblement un très fort plaisir par cette action solitaire mais elle n’eut jamais un rapport même amical avec lui avoua-t-elle.
Elle semblait visiblement le regretter. Cette scène l’avait troublée fortement selon toute apparence et pratiquait sur elle-même la masturbation. Maintenant ce devra être un geste … un semblant de caresse… avec Michel... des gestes qui devront être doux et comme " allant de soi " pour ne pas choquer la voyeuse, une attitude plus amicale assortie d’un début de masturbation -puisque elle avait déjà vu une masturbation masculine !- et cela amènerait progressivement le reste (si l’on ose dire). Nous pourrons devant elle, comme le souhaitait satisfaire nos besoins érotiques qui maintenant devenaient terriblement intenses. Surtout depuis que nous avions un "public" attentif ! J'ai fait observer à Michel qu'il bandait trop fort et que son slip devait le gêner atrocement et que nous étions des garçons et filles libérés !
- D'autant me dit Michel avec sérieux mais nous ne pourrons pas rester longtemps sans libérer nos excitations.
- C'est vrai et si ton sexe te fait mal je suis là pour te le calmer et même caresser tes fesses comme cela te plait.
- Je crois que je vais te donner une bonne fessée pour dire tout ça devant une demoiselle.
La dite demoiselle éclata de rire.
Nous avions déjà beaucoup gagné sur son mutisme et Michel me descendit vite mon slip faisant jaillir d'un coup sec mon organe qui, tendu à l’extrême vibra un moment dans la direction de la jeune demoiselle.
J'étais maintenant prêt à tout.
Selon le désir de Michel.
Le sucer ... le pénétrer... me faire pénétrer… il opta comme il l'avait dit par une fessée...devant la jeune fille.
Le moins que l’on puisse dire est que Michel m’ayant attiré dans ce piège charmant voulut exécuter tout de suite sur moi sa décision. Et devant une fille qui ne cachait pas ses gouts un peu vicieux. Il devait connaitre cet étrange gout qu’ont beaucoup de filles pour corriger les garçons d’être justement ce qu’ils sont : des garçons. Il était assez vigoureux pour me faire mettre sur le lit, en écartant mes cuisses à l’extrême, dans la position qui a l’avantage de présenter au témoin ce dont disposent les garçons : les fesses, le trou intime d’habitude caché, et le délicat paquet de testicules que l’on voit se balancer doucement au rythme des claques.
Il avait en main une petite tige flexible d’une plante des dunes, mais commença par des claques à la main. Même très sonores elles n’étaient pas bien douloureuses. Après une dizaine je crus que cela était terminé. Non ! Il eut l’idée saugrenue d’inviter la fille à continuer. A ma grande honte elle vint près de moi appliquer ses deux mains, une pour chaque fesse. Une dizaine de fois. Je ne le vit pas quand Michel lui tendit la tige végétale. Par un seul coup légèrement plus cruel je sus qu’elle l’avait essayée une fois. Par contre ce geste lui donna l’audace de me palper le petit sac de testicules sans le serrer. Elle avait l’air d’adorer cette palpation et lissa ses doigts le long de ma verge.
- Comme tu peux le voir tu sais le faire bander dit Michel ! Si tu quittes ton slip de bain il pourra te faire jouir. Sinon c’est dans mon cul qu’il devra jouir.
Comme elle ne répondait pas, je me saisis de Michel, lui fit prendre la position qu’il m’avait imposée et garnis ma verge de lubrifiant. Son cul était maintenant si largement ouvert que je pris l’initiative qui me plaisait tant, de lui ouvrir les fesses et de passer ma langue dans son orifice qui se présentait à nous ce qui le fit gémir en me remerciant. La fille s’était rapprochée si près que j’ai dû interrompre ce baiser particulier. Je fis mettre Michel sur le dos ses cuisse bien relevées. Il avait fermé ses yeux et attendais. Ses fesses reposaient sur un gros coussin. Son trou était à la portée de la ponte de ma verge. Je le pénétrai sans brusquerie. Mais tout de suite... Et cette suite prit du temps. J’avais mon buste contre lui et mes fesses étaient ainsi très hautes et béantes. Ses gémissement étaient comme ceux d’une fille et ne s’interrompirent que lorsque mon souffle devint comme un cri. La fille comprit sans doute que l’éjaculais en lui
Quand je me suis relevé, laissant Michel la tête dans un oreiller, des gouttes de mon sperme perlaient sur ses testicules. Je vis que la fille était assise derrière moi sans doute depuis le début. Elle avait observé la scène de pénétration à quelques centimètres de mes testicules et de mes fesses.
Elle avait passé sa main dans son slip de bain
Elle se masturbait avec un étrange sourire.Certes, en revenant chez lui, je croisais immanquablement " la pucelle " qui était sa voisine et pour laquelle nous pouvions offrir à tous deux le spectacle de garçons nus et prenant leur plaisir par des sodomies fréquentes.
Michel et moi y venions nus et maintenant la « pucelle » nous y accompagnait. C’était une vicieuse « intériorisée » qui jouissait par la vue des garçons qu’elle semblait redécouvrir dans leur intimité érotique. Nous lui avions donné la confiance et le secret qu’elle souhaitait. Disons même qu’elle ne semblait attendre que cela de nous, depuis qu’elle avait contemplé en secret son cousin se masturbant longuement dans sa cabine de douche et sur son lit. Maigre et sans grâce elle se caressait en ayant soin de se couvrir de sa serviette. Malgré l’étroitesse de la terrasse nous étalions un tapis de plastique épais et un coussin. De même que des gobelets et des jus de fruits que conservait un bac à glaçons. Qu’importe une possible longue-vue indiscrète ! Nos ébats étaient ceux de grands garçons de 15 et 16 ans. Nous lui offrions la totalité des points de vue de nos organes de garçon et de nos positions. Nous préférions satisfaire les sens de notre voisine très attentive. J’eu l’idée de sucer le membre de Michel tout près d’elle. Elle se caressait plus hardiment en entendant les gémissements de Michel que je sus faire durer. Je souhaitais sans y croire qu’elle ait le désir de faire de même sur mon membre raidi. C’est alors que notre surprise fut intense. J’étais debout près d’elle qui était assise sur un fauteuil de toile. Mon membre était bien à sa portée. Elle le saisit. D’abord de ses deux doigts puis de toute une main ! Michel s’était redressé, stupéfait. La palpation de mon membre devenait presque sensible. Je m’avançai vers elle et lui passai la main sur son épaule nue. Elle frémit un peu. Elle découvrit mon gland devenu rouge et presque violacé. Je lui dis avec douceur et presque à voix basse ce que sa manœuvre pouvait faire à cet organe. Mons propos était stupide car elle le savait bien. C’est alors que sans prévenir elle avança brusquement sa bouche et la referma sur mon membre. Je sentais un peu le contact de ses dents mais sa langue était chaude et mon organe fut comme le pis d’une chèvre. Elle me tétait ! De sa main droite elle se masturbait, cuisses ouvertes, sans rien cacher. Sa main libre m’avait saisi les fesses et je sentais un peu ses ongles maladroits dans ma chair. C’était à la fois maladroit et délicieux. Cela présentait l’avantage de maintenir plus longtemps mon érection. Mes gémissements devaient lui plaire. Elle s’arrêta un instant en gémissant comme si son désir satisfait par une masturbation réussie, l’avait libérée de sa tension. Puis sa succion reprit. Mes gémissements devenaient des petits cris. Je voulus l’avertis doucement que j’allais jouir aussi. Mais ses deux mains maintenant libres et comme mues comme par instinct possessif s’agrippaient à mes fesses. Dans un souffle plus fort j’éjaculais longuement. Elle semblait vouloir en absorber d’avantage. Quand cette tétée violente finit elle tourna la tête. Michel lui tendit un gobelet de jus de raisin qu’elle bu et en réclama un autre. Sans un mot elle remit son slip de bain, nous sourit, fit un joli geste d’adieu et sortit. C’était son dernier jour de vacance.
Nus tous les deux, Michel et moi, nous avons mis un short et un tee-shirt pour aller dans les bois tout proches sans rien nous dire.
Voilà. J’ai pu poursuivre mon récit. L'écrire m'érotisait par l'abondance des souvenirs. Mais mon joli petit Gilou dont j’ai pénétré le cul longtemps m'a calmé. Il m’a caressé les fesses aussi longtemps.
C'est vrai que je ne vous ai pas présenté Gilou. Vous je connaissez déjà ! Souvenez-vous des cinq garçons que j'avais rencontrés. Gilou c'était le petit mignon qui offrait son cul à tous les autres et que j'avais pris le dernier. Mais les "autres avaient terminés leurs vacances et Gilou m'ayant reconnu m'avait appelé. Il me dit qu'il était pensionnaire dans un collège de Montpellier. Il restait seul. Je l'ai présenté à ma mère en lui demandant de l'héberger pendant une semaine pour finir ses vacances. Il y a un divan dans ma chambre. Il est très correct 'allure et n'a pas des manières de pédé ! Il prend même un air très sérieux.
Rien que par le fait de le conduire dans ma chambre le souvenir que je garde de son joli corps me fait bander ! Quand j’aurais placé mon dernier chapitre je sais qu'il me fera jouir et que nous irons nous doucher. Il me lavera la queue avec soin. Puis il m’a promis un beau 69. J’aurais mes oreilles entre ses jolies cuisses. Je veux le sucer si bien qu’il en pleurera de bonheur. Moi le sais déjà qu’il suce adorablement.
Voici donc mon dernier chapitre fini. J'ai appelé mon petit ami. Il était rentré. Une chance pour moi qu'il ne se soit pas fait draguer, lui qui est si mignon.
Il m'aide à faire mon récit. Mais dès qu'il est entré et m'a vu en slip il me l'a quitté et m'a demandé de le sucer car il en avait un besoin fou me disait-il.
Il s'est assis sur mes cuisses. Moi j'attendrai qu'il veuille bien m'offrir son cul qui est blotti maintenant contre mes cuisses. Déjà ça me fait un peu souffrir de le désirer. Il le sait mais comme je viens de le sucer il s'en moque ! Mais il n'est à moi que pour une semaine. Puis il ira chez son oncle qui est aussi son "correspondant".
8 L’arrivée de Damien
C’est deux jours plus tard que Michel m’annonça qu’il avait rencontré Damien notre autre copain de chambre et l’avait invité pendant l’absence de ses parents. Il était arrivé le matin même. Les séances de plage et de baignade semblaient tant exciter Damien que nous étions gênés de nous balader nus avec lui alors que son érection n’était pas modeste, même si sa bite était de taille normale. Des nudistes souriaient en nous croisant. Damien aussi devait venir nous rejoindre sur notre terrasse, nu comme nous, puisqu’il était aussi un éphèbe pour ma mère. Damien, Michel, Gilou et moi, nous étions quatre éphèbes nus sur les terrasses. Ma mère ne se rendait pas compte qu'elle élevait ainsi la température érotique des hommes de la maison. Cette situation nous inquiétait car étant si sensible, nous redoutions de voir Damien en érection devant tous. Nous avons Michel et moi pris une décision des plus osées. Nous avons entraîné Damien derrière une dune avant d’entrer à la maison. Il suffisait qu'il y eut une jolie fille étendue à plat ventre sur sa serviette, alors que nous étions cachés. Alors son érection activée par nos commentaires érotiques lui donnait une trique qu’il nous fut facile de calmer par une branlette qui le fit gémir, ou mieux lui preter les fesses de Gilou. Il pouvait rester tranquille pour un bon moment. Nous aussi ! Nous revenions tous les quatre nus sur la terrasse. C’est alors que quelques gouttes résiduelles sortaient du sexe ramolli de Damien ! Certains s’en apercevaient vite. Sauf lui !
Le repas terminé Michel nous invita tous chez lui. Ma mère ne vit aucun inconvénient à cette nouvelle invitation. Damien fut heureux et déclara qu’on ne s’ennuierait pas à quatre !
Nous étions maintenant nus sur la terrasse de Michel. Cela nous fit bander si violemment que nous préférâmes rentrer dans l’appartement. L’envie est trop forte. Michel se lève, choisit un disque et se dirige vers la télé. Il s’asseye près de moi, et se branle en regardant le film. C’était la même vidéo déjà vue : celle d’un trio de deux garçons et d’une fille. Les scènes du film étaient vraiment chaudes. Les deux garçons du film avaient des bites énormes. Le garçon qui sodomisait retirait de temps en temps sa bite ce qui nous permettait de voir le cul de la fille complètement ouvert. On était concentré sur le film, plus personne ne parlait. J'ai discrètement regardé mes copains pour voir s’ils bandaient. Michel bandait et se frottait la bite. Après dix minutes, Damien et Michel se caressaient ouvertement, donc j'ai commencé à mettre Gilou entre mes cuisses et le caresser aussi. Michel m’a observé, il a placé sa main sur ma cuisse en me frottant la jambe. Surpris, je l'ai regardé car mon membre raidi frôlait les fesses du mignon; il m'a souri, mais je n’ai pas réagi. Il a alors déplacé sa main vers mes fesses alors que le pénétrais celle de Gilou dont le caressais aussi la bite et les couilles. Excité, je me sentais prêt à tout. J’ai caressé ls mamelons lu mignon et les pinçais doucement. Michel m’a alors poussé la tête vers son organe en érection. Je ne sais pas ce qui m’a pris mais le j'ai sucé. C'était comme une envie secrète. Le mignon est allé sous la douche pour laver ses fesses. Alors je me suis mis à genoux entre ses jambes et j’ai commencé à lécher, embrasser et sucer ses couilles. J'ai soulevé une de ses jambes en exposant ses fesses et son anus. Les écartant plus encore j'ai timidement léché sa rosette. Il haletait. Encouragé par ses soupirs, j'ai alors poussé ma langue dans son trou intime. Michel s’était effondré dans le canapé.
J'ai vu que Damien sans doute jaloux était venu à côté de moi pour sucer la bite de Michel alors que je le léchais entre les fesses.
Puis Damien et moi avons sucé tour à tour la bite de Michel et léché son gland avec gourmandise.
Damien s’était approché de mon oreille et m’a chuchotait : "Je veux te baiser. Tu le veux bien ? "
Tandis que je suçais Michel toujours profondément, Damien a ouvert mes cuisses, exposant ainsi mon orifice à sa vue. Il m’a dit à l’oreille que j’avais un cul très mignon, lisse comme celui d’une fille, potelée et ferme, sans pilosité,: parfait pour se faire prendre.
Il a collé son nez dans ma fente et a commencé à lécher mon orifice bien lavé par la douche. Une fois mon cul bien mouillé par sa salive, il a mis son doigt et l’a lentement poussé dans mon cul, puis Damien a ensuite inséré un autre doigt.
Je suçais toujours la bite de Michel tandis que les doigts de Damien s’enfonçaient dans mon trou intime. Une fois prêt, Damien qui était derrière moi, m’a pincé les mamelons, m’embrassant le cou et léchant mes oreilles. J'ai arrêté de sucer Michel pendant une seconde quand j’ai sentis la langue de Damien dans mon orifice, puis le bout de sa bite. Il a commencé lentement à pousser. Je sentais mon trou s’ouvrir, s’élargissant facilement, j'ai alors poussé en arrière, désireux de faire pénétrer sa bite toute entière dans mon cul. Je n’étais plus puceau du cul depuis l’intromission de Michel mais j’avais mal et pourtant se bite était petite et fine. Une fois sa bite entièrement entrée, Damien n’a plus bougé pendant quelques secondes puis il a commencé doucement à me limer. J'ai commencé à gémir comme une fille : j’avais la bite de Michel dans la bouche et celle de Damien dans le cul.
Damien mettait en pratique ce qu’il avait vu dans le film vingt minutes plus tôt c’est-à-dire qu’il sortait entièrement sa bite de mon trou avant de la rentrer à nouveau violemment. Il prenait plaisir à m’empaler sur sa bite toute gonflée à chaque poussée.
Je me sentais comme une petite fille violée par deux garçons. La douleur était forte. Damien a poussé sa bite entièrement, je pouvais maintenant sentir ses couilles tapant sur mes fesses. J'ai même arqué mon dos pour lui permettre de m’enfoncer plus encore et j’ai continué de sucer Michel. Je savais maintenant que j’aimais vraiment baiser. Michel m’a alors saisi la tête, puis il a commencé à me baiser la bouche, essayant de correspondre avec les poussées de Damien. Tous deux baisaient mon cul et ma bouche.
« Quel bon copain tu es, m’a dit Damien. Regarde, Michel ! Comme je suis heureux de le baiser ! » C’est alors qu’il a retiré sa bite pour regarder mon trou béant, puis s’est enfoncé de nouveau.
Michel, lui m’enfonçait sa bite profondément dans la bouche, j’avais le nez contre son ventre, il a commencé à gémir profondément en disant : « Je vais jouir …. ». C’est à ce moment que j ai senti les giclées de son sperme m’arroser la gorge. Ma bouche était inondée de son sperme, j’en avalais le plus possible mais quelques gouttes se sont échappées de mes lèvres coulant sur mon menton. Je continuais de le sucer. Il s’est alors baisser pour m'embrasser profondément et puissamment. J'ai pris sa bouche dans la mienne comme une fille avec son premier petit ami.
Damien est devenue si excité lorsqu’il m’a vu avaler le sperme de Michel, qu’il a commencé à gémir comme un malade. J'ai arqué plus encore mes reins pour recevoir ses coups de boutoirs plus vifs encore.
Il a chuchoté à mon oreille : « Je ne savais pas que j’enfilerai un cul aussi bon que le tien, je vais te le remplir »
Damien a poussé sa bite entièrement, je pouvais maintenant sentir ses couilles tapant sur mes fesses. J'ai même arqué mon dos pour lui permettre de m’enfoncer plus encore et j’ai continué de sucer Michel.
Damien m’a aussi claqué les fesses puis a crié, j’ai alors senti sa bite se contacter et plusieurs giclées de son sperme coulèrent sur mes cuisses.
Damien s’est retiré mais Michel avait repris de la vigueur. Il m'a alors retourné, j’étais maintenant sur le dos, il s’est couché sur moi, m'embrassant et suçant mes lèvres, mon cou, mordant mes lobes d'oreille. Il mit mes jambes autour de son cou. Il positionna son gland contre mon anus, (sa bite était plus grosse que celle de Damien), tout en m’embrassant, il l’a enfoncé d’un seul coup dans mon corps. J’ai été abasourdi par la douleur malgré la présence du sperme de Damien qui facilitait la pénétration. J'ai crié, mais il a continué de me baiser, ne prenant pas la peine de ralentir, à chacun de mes cris et sa bite allait profondément en moi. Elle tapait mes fesses, j’ai alors joui spontanément sans que l’on me touche, par une décharge énorme sur mon torse. Damien qui depuis le début regardait Michel me baiser, récolta mon sperme avec sa main puis il le porta à sa bouche. Puis par jeu, il me claqua les fesses en gémissait : " je t’aime tellement ! ". Rapidement rechargé de désirs il caressait sa bite tout en criant : " je t’aime tellement ! ". Damien avait vraiment repris de la vigueur, il se branlait en regardant Michel me baiser puis Michel lui a demandé de me tenir les jambes. Damien s’est alors installé sur ma tête, j’avais ses testicules juste au dessus de ma bouche et le les lui pris dans la bouche. J'ai léché et ai sucé son trou. Damien poussait pour me permettre d’enfoncer ma langue plus profondément encore. Michel me baisait de plus en plus vite. Il allait bientôt jouir. Damien se mit sur le côté et repris frénétiquement sa branlette. Michel se retira enfin de mon cul et je reçus son sperme sur le ventre ainsi que celui de Damien.
Je venais de réaliser que je m’étais livré cul et bouche pour être soumis par deux garçons que j’avais excités à mort pour me livrer totalement à eux. Je me sentais comme une petite fille qui vient d’être violée par deux garçons. Je savais maintenant que j’aimais vraiment être baisé. Nous étions sur la terrasse étroite. C’est alors que Michel nous annonça avec le sourire que nous nous étions mis en spectacle devant les terrasses de la pyramide d’en face !
Nous sommes entrés pour nous doucher en silence.
Puis nous sommes descendus au restaurant. La nuit tombait. Le bruit des flots nous calmait. Nous nous sommes embrassés dans la nuit avant de nous séparer. Cette partie de récit fait rire mon petit ami qui se tortille le cul entre mes cuisses. Il sait que je crève de désirs. Il a un petit cul bien rond mais sa rondelle se laisse bien pénétrer. S'il crie c'est de plaisir. Il aime trop ça. Il n'a jamais baisé une fille. Sa petite bite est faite pour ma bouche pas pour me pénétrer. C'est fou la sensation qui me monte quand il bouge son cul sur mes cuisses.
J'espère qu’il ne va pas me faire attendre trop longtemps sinon ses fesses et son dos et ses cuisses dégoulineront sans que j’aie pu le pénétrer.
Je m'interromps pour séduire et supplier ce ...
Quand on est aimé comme le l'aime ...
Nous revenons de la cafétéria. Nous avions une table éloignée et mes amis prirent plaisir à me raconter leurs désirs. Je bandais pendant le repas. J'en étais fou. Je suis allé chercher une autre bouteille. Heureusement nous ne sommes pas en voiture !
J’ai pu poursuivre mon récit. Mais mon joli petit Gilou dont j’ai pénétré le cul longtemps m’a caressé les fesses aussi longtemps. C’est bon pour moi. Si bon qu’il m’a fait rebander et je l’ai repris pour jouir encore. Quand j’aurais placé mon dernier chapitre et éteint l’ordinateur je sais que nous irons nous doucher. Il me lavera la queue avec soin. Puis comme le dois le sucer il m’a promis un beau 69. J’aurais mes oreilles entre ses jolies cuisses. Je veux le sucer si bien qu’il en pleurera de bonheur. Moi le sais déjà qu’il suce adorablement.
Quand tout change en grandissant et avec Loulou
9 La "maman" de LoulouC’est encore Michel qui me fit connaître une toute autre aventure.
Mais nous étions déjà presque majeurs. Du moins moi je venais d’avoir 17 ans. Il me fit connaître un joli pédé fort jeune présenté par sa "maman" ! Oh ce mot de "maman" ! N’en soyez pas déjà choqué ! En fait cette "maman" était sa belle-mère, la seconde femme de son père. Ils avaient été tous deux médecins dans « nos colonies » comme elle le disait encore. C’est au cours d’une expédition militaire dans un pays africain qu’il fut tué par des « rebelles ». Déjà veuf lui-même il avait laissé une très belle fortune et comme unique héritier de sa famille un fils. Elle avait adoré son mari. Elle élevait affectueusement ce fils. Grâce aux revenus d’une fortune bien placée auxquels s’ajoutait une bonne pension de l’Etat, cette doctoresse qui n’avait pas quitté définitivement sa profession l’exerçait peu après le décès de son mari. Mais elle comprit assez tôt, et dès le tout début de l’adolescence du garçon, que pour des raisons inconnues (d’elle et de tous d’ailleurs !) ce fils "avait viré" vers l’homosexualité. Mais comme elle le disait, il valait mieux lui laisser vivre sa sexualité mais tout en surveillant scrupuleusement ses fréquentations et ses relations. Elle lui faisait suivre des cours dans un externat privé. Il l’appelait "maman" comme Jean-Jacques Rousseau appelait ainsi Madame de Warens qui était en fait sa maîtresse. Le garçon était protégé par la douce autorité par sa belle-mère, docteur en médecine ! Simplement.
Mais comme pour le protéger mais sur un autre plan elle reçoit aussi des garçons de manière très discrète ! Le garçon 'est un adorable petit gars au caractère soumis portant le prénom de Louis ou plus facilement de Loulou.
C’est Michel qui m’a introduit chez lui. Il m’a expliqué qu’il avait un nombre très limité de « fréquentations »: moins de dix sans doute mais suffisant pour assurer les besoins sexuels du joli garçon que son mari avait laissé à son autorité de "maman". Ses besoins étaient faits de caresses viriles mais non brutales et de soumissions douces. Des besoins que l’on pourrait qualifier de « féminins ». Elle le savait. Ses amateurs peu nombreux étaient d’ailleurs avec l’accord du garçon très bien triés par "maman".
Michel m’avait tout expliqué après m’avoir montré des photos très appétissantes du jeune garçon. Il avait même rencontré quelques uns de ses partenaires. C’étaient des garçons et des hommes jeunes, discrets et sérieux. Souvent mariés. Le plus âgé avait 32 ans ! Il avait aperçu aussi un jeune garçon joufflu et replet dont l’âge paraissait même inférieur à celui de Loulou. Ils étaient introduits par connaissances discrètes, de bouche à oreille. Michel avait même proposé une réunion gourmande et galante entre tous, mais "maman" était hésitante sur ce projet. La première fois c’est toujours avec elle que l’on devait voir le prétendant. Elle connaissait déjà bien les gouts sensuels de Loulou. Mais c’est lui choisissait après un entretien amical qui laissait bien entrevoir sa beauté. Il pouvait refuser le prétendant. S'il acceptait un prétendant, une nouvelle " relation amicale discrète " devait donc d'abord passer par un rendez-vous avec cette "belle-mère" que ce joli garçon appelait "maman" sans pour autant avoir lu Rousseau. La sélection faite par "maman" était déterminante. La santé générale et sexuelle était vérifiée par elle, en vraie médecin qu’elle était. On discutait longtemps avec elle avant d’être accepté totalement.
Ainsi, Michel m’avait décrit tous les détails de l’examen médical que je devrais subir et je m’étais lavé scrupuleusement dans ce but qui ne me réjouissait guère. Seule la perspective de m’offrir le plus beau garçon du monde m’y encourageait encore.
J’ai dû me déshabiller entièrement dans son bureau. Devant elle. Connaissant bien comme on le comprend, l’anatomie masculine elle savait découvrir des défauts et la netteté. Elle me fit allonger nu sur sa table d’examen en m’expliquant aimablement les raisons de ses gestes.
Elle m’appliqua scrupuleusement son stéthoscope et pratiqua sur moi, un examen clinique doux mais complet incluant un examen des organes génitaux internes et externes, suivi d’un examen rectal.
Elle palpa d’abord mon pénis et mon gland pour vérifier l’absence de lésions. Elle découvrit mon gland avec délicatesse et me fit rouler doucement mes boules et tousser. Elle examina le méat pour voir s’il y n'avait un écoulement urétral, comprima l’urètre de la base jusqu’au gland quatre fois pour vérifier s’il y avait un suintement suspect. Puis elle examina et palpa le scrotum pour vérifier l’absence d’œdème ou de lésions.
Enfin elle enfila un gant, me demanda de m’agenouiller et de bien relever mes reins pour lui permettre d’examiner la région péri anale. Elle m’ouvrit les fesses car la visite incluait un examen rectal, et introduisit son doigt ganté dans mon rectum. Elle me dit en souriant que ce simple examen clinique lui permettait de vérifier l’état de la prostate et diagnostiquer les verrues génitales ou condylomes vénériens. Le diagnostic est facile sur ce simple examen clinique me dit-elle. En fait, le résultat pour moi fut une érection immédiate que je gardai longtemps. « C’est normal, à votre âge, me dit-elle, d'autant que je vais vous faire un prélèvement de sperme !" Puis elle m’avoua en souriant qu’elle aimait examiner les jeunes blonds comme moi et comme son fils ! Nous avions presque le même âge ! Concernant le prelèvement de sperme je parus sans doute réticent. Elle pensa me rassurer en me disant qu'elle le pratiquant elle-même de la manière la plus naturelle. Je la prévenais que je mettais beaucoup de temps parfois ! Elle m'assura que ce serait rapide en la laissant faire. Je devais me masturber "normalement" et je commençai en hésitant ainsi sous son regard quand je sentis son doigt ganté de latex s'était introduit dans mon anus et l'éjaculation arriva vite quand elle le remua.
Après cet examen elle m’indiqua l’adresse d’un laboratoire biologique et le nom de la doctoresse (encore une dame !) de cette officine que je devais voir de sa part dès maintenant. Après les prélèvements d’usage cette dernière téléphona à la "maman" pour attester de mon bon état de santé biologique et sexuel.
Le lendemain j’eus le délicieux rendez-vous prévu avec Loulou qui m’attendait. C’est ainsi qu’elle nommait son beau-fils... son Loulou. Après quelques minutes de conversation, elle l’appela. Je vis entrer cette petite beauté ! Ce joli garçon blond. Il quitta très lentement son tee-shirt, son short puis son adorable mini-slip devant moi et aussi devant sa "maman" bien sûr car c’est ainsi comme je l’ai dit qu’il appelait toujours sa belle-mère. Il se montrait à moi sous tous ses jolis aspects, de la manière la plus érotique ... comme elle le lui avait sans doute appris. Je l’admirais. Tombant à genoux, je caressais et embrassais ses fesses. Mais j’étais gêné devant cette "maman" même si j’avais dû me présenter nu devant elle la veille.
La doctoresse qu’elle était toujours pouvait donc assister à nos ébats. Elle avait su s'y prendre ! Elle intervenait mais avec gentillesse.
- Mais commencez donc à vous déshabiller, me dit-elle. N’ayez pas cette pudeur ! Vous êtes joli tout nu ! J’ai eu le temps de vous voir ainsi. Loulou attend de vous voir nu lui aussi !
Je quittai mon tee-shirt et mon pantalon tout en gardant mon slip. Je posai mes lèvres sur les fesses de Loulou et mon désir me fit introduire ma langue entre ses fesses. Mon organe pointait dans mon slip léger à la manière d’une tige d’acier ! Il en était même irrité de ce contact.
- Mais quittez ça ! Votre gland est irrité. Ne cachez pas ce que vous avez de plus joli !
Elle passa elle même ses doigts dans l’élastique de mon slip et n’eut plus qu’à le faire descendre avec douceur.
- Vous voyez bien qu’il fallait vous libérer !
J’étais accepté tacitement par Loulou !
Tout nu comme lui J’ai dû aussi comme lui passer sous la douche. C’est lui qui me lavait tout. Et lui-même montrait qu’il était propre même dans son orifice intime qu’il dégageait bien à ma vue. Je bandais terriblement ! Om plçait aussi le jet sous mes testicules ce qui m'excita d'avantage.
"Maman" nous regardait satisfaite et je finis par n’avoir plus de gène en sa présence.
- Votre verge est un peu irritée dit-elle. Loulou va vous passer une crème apaisante et qui maintient plus longtemps l’érection sinon vous éjaculeriez avant même de l’avoir touché somme je l'ai faire !
Loulou avait ouvert un flacon et me passait cet onguent avec un seul doigt. C’est vrai que je me sentais moins fragile après cette onction. Je pouvais prendre tout mon temps pour le palper et le baiser longuement. L’onguent qu’il me donnait maintenait bien mon érection. Il s’était mis à plat ventre et ses fesses dont la beauté était follement excitante attirèrent d’abord ma bouche et ma langue. Je l’ai pénétré ensuite longtemps et timidement devant "maman". Ses gémissements étaient spontanés. Mon éjaculation fut lente cette première fois.
Il se leva pour passer un petit coup de jet sous la douche. Il vint m’embrasser en marchant nu dans la chambre. "Maman" lui donna quelques claques sonores sur les fesses ce qui nous fit sourire car étant debout près d’elle elle fit de même sur les miennes.
L’excitation à la vue de son corps aussi proche, sa merveilleuse beauté ainsi que l’onguent qu’il m’avait passé à nouveau sur les organes rechargèrent assez vite mes désirs après la première pénétration. Il s’était mis sur le dos jambes bien écartées. Il suçait rarement, juste pour m’exciter ! Il aimait surtout être pénétré ! Il prenait toutes les positions qu'on voulait sur le ventre, à quatre pattes, sur le dos les cuisses bien écartées et semblait aimer ça. En merveilleux spécialiste de l'érotisme ! Et quel beau cul ! Pas un poil à l’orifice ! On pouvait le lui lécher avec plaisir. Ce que je fis sous le sourire bienveillant de "maman". Sa belle-mère devait s’occuper sans doute de son corps et le lui épiler.
On but une orangeade fraiche. On bavardait. Il allait et venait dans cette belle chambre. On remettait ça dès qu’il voyait que sa position me faisait naitre une nouvelle érection.
Par la suite je téléphonais pour rendez vous mais toujours à sa "maman". Elle vérifiait quand même. On allait tout de suite dans la chambre de Loulou. Souvent elle entrait avec nous quand nous étions nus. Pour vérifier si tout allait bien ! Lui ça ne l’étonnait pas. Il en souriait.
Avez-vous connu quelque chose de semblable ? Une femme maitresse d’un jeune garçon. C'était vraiment un bon coup il faut le dire ! Sachant faire de multiples caresses érotiques. Je pourrais préciser si vous le voulez. Étant devenu un habitué je pouvais rester tout le temps que je voulais. Il savait bien me faire re-bander plusieurs fois après une douche et une boisson !
Aujourd’hui, "maman" a téléphoné à Michel qui lui avait parlé de moi et qui doit venir tout de suite et c’est vrai ! "maman" est encore auprès de nous. En intime. Ça ne nous gène plus Michel et moi de nous déshabiller devant elle jusqu’au slip qu’elle aime faire glisser de ses doigts en vraie doctoresse de garçons ! Notre organe est érigé comme un bâton qu’elle caresse en passant. Devant sa "maman" nous sommes nus. Loulou s’allonge sur le lit. Il a le corps fin et souple. Il est soumis à elle mais nous aussi, Michel et moi. Sa "maman" me caresse les fesses. Je commence à caresser Loulou partout.
– Hmmm ! Comme t’as la peau douce !
Il me fait un grand sourire de toutes ses dents. Vraiment adorable : je l’embrasse, puis je continue de le baisouiller partout, sur le torse, dans le cou, sur les épaules…
Il doit être très jeune. Il a un joli visage et surtout un corps sublime. Sa "maman" me faisait carrément du gringue en plotant mes fesses. Couché à plat ventre sur son lit, il se laisse faire par Michel. Il lui caresse le dos, y dépose des petits bisous en descendant vers ses fesses. En bonne salope bien éduquée par sa "maman", il pousse des petits soupirs de satisfaction et écarte les jambes à mesure que je m’approche de son cul.
– Oh ! Ton petit trou du cul ! Qu’est-ce qu’il est mignon ! s’écrie Michel ! Il sent bon. Qu’est-ce qu’il est doux ! Bien lisse. Tu l’épiles ?
– Non c’est "maman" qui m’épile.
– Avec quoi ?
– À la cire.
– Hmmm ! C’est doux. Ça sent bon…
– C’est la crème qu’elle me met après l’épilation. Elle m’épile rarement. J’ai peu de duvet. juste avant de descendre au parc.
– Woaohh ! Tu t’es épilé pour aller draguer ?
– Ouais mais en fait je ne drague pas. "maman" voit à qui elle veut me faire prendre !
– Ça m’excite ! Raconte-moi ça ! Ton épilation…
– J’adore qu’elle m’épile le cul. Je me le lave d’abord longuement à l’eau tiède. Pendant ce temps, elle fait chauffer la cire avec un appareil pour ça, qui la maintient aussi à bonne température. Ensuite elle étale la cire chaude avec une petite spatule en bois. Elle fait ça devant ce miroir, là… Je peux voir deux jolies bandes de cire : une de chaque côté de mon anus.
– Et quand elle les arrache, ça ne fait pas trop mal ? dis-je.
– Si, mais j’adore ça ! D’abord elle soulève un petit coin de la cire, comme un couvercle de yaourt, et ensuite elle arrache d’un coup sec. Je pousse un cri, comme ça : Aï ! J’aime les petites douleurs bien placées. Les fessées par exemple. J’aimerais que tu m’en donnes.
- J’aimerais ça aussi.
- Je t’en donnerai. Ou "maman" te le feras si tu veux. Elle aime fesser les grands garçons.
– T’es vraiment trop mignon !
– En général, ça me fait bander quand elle arrache la cire, alors elle me caresse un peu en attendant que la douleur s’apaise. Et elle me passe une pierre d’alun mouillée à l’eau froide sur la peau épilée.
– Une pierre d’alun ?
– Oui, c’est une pierre blanche : c’est ça, là-bas, sur l’étagère… C’est un antiseptique naturel, ça assainit la peau après l’épilation…
Vu la forme lisse et oblongue de sa pierre d’alun, il n’y a aucun doute sur la façon dont il l’utilise pour assainir la peau de son anus !
– Ensuite, elle met une crème apaisante à l’amande douce.
– Oui, hmmm ! C’est ça qui sent si bon !
– Quand elle a fini, je sens mon petit trou tout net et tout bien dégagé. Alors, j’ai l’impression de sentir l’air plus froid que d’habitude entre mes fesses. Je me sens tout nu. Alors j’ai besoin que quelqu’un me voit. Je mets un jean, un mini-slip, et je descends directement au parc. Je suis vite dragué. Le mieux c’est quand je mets seulement un short assez large ! J’ai une façon de m’asseoir sur un banc qui découvre le haut de mes cuisses et us encore. Mais pour moi c’est comme un jeu. Ça m’excite et "maman" prend un rendez-vous pour moi qui me soulage.
Le lendemain Michel est venu me rejoindre à nouveau. Maintenant nous avons des rendez-vous à trois. Oui, ou plutôt à quatre si l’on tient compte de "maman".
Je prends maintenant le temps de bien ouvrir ce magnifique petit orifice avec un puis deux doigts : je veux le préparer parfaitement pour que ma bite y glisse toute seule comme dans un fourreau. Il m’aide en écartant les cuisses aussi loin qu’il le peut ! Après avoir mis la langue dans son orifice devant sa "maman" qui observe tout, je commence à le pénétrer un peu plus profondément avec mes doigts. Il se met à quatre pattes pour faciliter mon ouvrage, arrête de parler et ne pousse plus que des petits ha ! de plaisir. Quand je le sens bien ouvert, je finis la préparation en le badigeonnant copieusement avec le gel dont le tube traîne à côté du lit comme par hasard.
Depuis quelques temps "maman" nous autorise tout. A Michel et à moi. La pénétration se fait effectivement toute seule et ma bite glisse en souplesse dans son cul. Tout en commençant à le baiser doucement, je me couche à plat ventre sur lui et lui dis à l’oreille :
– Hahh… Qu’est-ce qu’il est doux, ton cul ! Je ne vais pas jouir tout de suite, mais c’est super bon ! À chaque aller-retour, j’ai la bite remplie de plaisir ! Tu le sens ?
– Oui… Pour moi aussi, c’est délicieux… Quand tu fais des allers-retours lents et souples, comme ça, j’ai l’impression de sentir ta jouissance dans ta bite.
Je le baise plusieurs minutes comme ça et je repense à son épilation.
– Moi aussi, ça m’excite à mort de t’imaginer quand on est en train de t’arracher les bandelettes de cire et de savoir que tu cries de douleur… Ça m’excite !
– "maman" pourra te le faire si tu veux. Pas vrai "maman" ? Tu le lui feras ?
- Oui mon chéri ! Vous le voulez bien dit elle en se tournant vers moi.
– D’accord ? reprend-il. Tu me préviendras la prochaine fois ? Elle étalera la cire autour de ton anus, avec la spatule… Je te banderai les yeux et au moment où tu t’y attendras pas : crac, j’arracherai d’un coup sec ! Aahh !
Loulou était maintenant couché et moi je me tournais pour que sa "maman" puisse constater à quel point ma bite était enflammée. Elle me dit en me tutoyant :" L’onguent va te calmer ! Tu as un joli cul ! Écarte bien tes fesses pour me montrer aussi ta rosette! "
J'ai écarté mes cuisses mais c’est "maman" qui m'écarte les fesses avec fermeté et m'a dit" Tu n'a presque pas de poils comme tous les jeunes blonds. Tu ne voudrais pas être épilé du cul même si tu en a peu et qu’ils sont fins ? Tu serais parfait je sais le faire Je l’ai fait à ton ami "
- Tout de suite ?
-Si tu veux
-D'accord
-Alors mets ton ventre sur le coussin
Elle fut d'une habileté incroyable. Il est vrai que j’ai très peu de poils et ils sont fins.
Michel est toujours le spectateur. Mais il est maintenant très excité.
Quelques minutes plus tard elle me fit voir son joli travail par un miroir qui renvoyait l’image de mon cul devenu parfait.
La sensation me provoqua une nouvelle érection terrible et je mis tout de suite ma bite dans le cul de son fils qui allongé sur le dos, cuisses ouvertes, souriait à mes désirs.
"Maman" prenait des photos. Michel tenait les cuisses de Loulou bien hautes. L’intromission dans le cul de Loulou me provoqua une jouissance si forte qu’elle me fit hurler de plaisir.
- Tu vas bander encore si tu me laisses faire.
La laisser faire c'était recevoir une fessée qu'elle m'appliqua en accélérant le rythme. Sa main gauche tenait fermement mon dos.
Aussi étonnant que cela paraisse j'avais des frissons de plaisir à chacune de ses frappes et ma bite se remit à raidir à nouveau. Mes fesses devaient être rouges.
Elle me déclara qu’elle connaissait aussi des techniques de massages adaptés aux garçons et qu’elle ne manquerait pas de m’en faire bénéficier.
- Et maintenant c’est Michel qui va essayer ton joli cul bien rouge, me dit-elle, je vois qu’il en a tant besoin qu’il se tortille de désirs.
L’organe de Michel qui n’avait pas déchargé était en effet plus rigide que jamais.
- C’est aussi ce que je désirais ! Je voulais tant qu’il me pénètre !
Michel glissa alors doucement son membre entre mes deux hémisphères rougies et étirés par la "maman" qui disait : « allez-y Michel … je crois qu’il est prêt ! »
Je gémissais : « c’est si bon Michel ! »
– Tu sais me dit doucement Loulou, "maman" pourra te fesser quand tu le voudras puisque ça t’excites. Pas vrai "maman" ? Tu le fesseras ?
- Oui mon chéri ! Tu aimes ça, je vois, me dit elle en se tournant vers moi.
- Oh oui Madame !
Les deux exercices mêlaient les pénétrations du trio que nous formions. J’étais entre Loulou qui couché sur le dos ouvrait largement ses cuisses et découvrait sa rosette pour recevoir mon organe alors que Michel commençait à introduire de sien dans mon orifice intime.
"maman" prenait postée derrière Loulou lui étira les cuisses bien en arrière pour nous découvrir la totalité de cet arrière-train délicieux.
Trop fortement excité, Michel ne put s’empêcher de me donner de toute la force de ses reins un très violent coup de bite entre mes fesses pour me pénétrer. Le choc eut pour effet d’introduire mon organe au fond de l’arrière-train de Loulou. Il s’enfonça brusquement. Je sentis tout d’abord une douleur alors que Michel déchargeait en criant !
Cette double collision imprimée par Michel me fit hurler de surprise et même de douleur et Loulou cria comme un écho fait de plaisir et de douleur mêlées.
Je gémis ensuite de plaisir avec Loulou !
Déjà les jets puissants du sperme de Michel commençaient à me baigner les cuisses de leur liquide chaud et glissaient sur mes testicules puis sur celles de Loulou.
Sa "maman" éclata de rire à la vue de cette collision et de la brutale virilité de Michel.
Je fus étonné des remerciements de Loulou qui étaient sincères comme si la vivacité de nous deux l’avait comblé. Mais je fus plus étonné encore lorsque "maman" me demanda devant lui de revenir spécialement et si possible avec Michel pour rencontrer l’un des amis de Loulou. Elle avait dû s’accorder avec ce dernier pour me parler de ce projet.
Le projet ne manquait pas d’étrangeté. Elle nous l’expliqua avec suffisamment de précisions.
Il s’agissait pour nous de rencontrer (amicalement bien entendu !) un garçon (évidemment !) mais doté de quelques petites particularités qui pouvaient nous le rendre sympathique. Elle l’avait examiné totalement comme elle l’avait fait pour chacun de nous. Il était jeune. C’était un très joli garçon au visage gracieux. Mais son anatomie était surprenante et il semblait en souffrir un peu. Il était complexé par sa taille très moyenne à son âge. Ses organes virils étaient petits tant par la verge que par la boule de ses testicules. Il avait aussi un peu de surpoids. Cela lui donnait un ensemble physique presque féminin. Ses fesses étaient grasses. Etant grassouillet il restait aussi très timide. Mais il aimait pourtant être nu et adorait le corps de Loulou dont il goutait tous les recoins avec gourmandise. Il était très soumis et toujours très excité par toutes les exigences dominatrices inventées par Loulou dans des positions humiliantes et par les fessées que "maman" lui donnaient devant Loulou (mais elle était lassée de cet exercice). Il aurait surtout voulu être pénétré ce que ne faisait pas Loulou. Comme il était d’une excessive prudence il se gardait bien de s’offrir à la sodomie à des garçons inconnus autres que ceux qu’il pourrait rencontrer ici dans cette maison chaleureuse mais où la santé et l’hygiène étaient des priorités ! Il avait apprécié l’examen médical de "maman", et nous pourrions lui faire pratiquer des positions dominatrices et les intromissions qu’il espérait. Il venait peu souvent. Malgré sa timidité nous avions eu l’occasion d’apercevoir ce garçon appelé Marc. Un soir alors qu’il allait partir il sortait nu devant nous de la cabine de douche. Loulou l’essuyait puis, nous voyant là déjà en slip nous donna cette ample serviette pour continuer. Nous avions pu le voir mais trop rapidement. Il faisait très jeune. Déjà il était en slip et se rhabillait vite comme pour se cacher un peu ; ce qui ne nous avait pas permis de voir ses organes, petits d’après "maman". Son visage semblait doux et heureux. "Maman" qui connaissait si bien les garçons nous proposait en quelque sorte d’aider celui-ci à mieux jouir.
D’un simple regard entre Michel et moi nous avons accepté de revenir le lendemain ; jour où il devait lui aussi venir.
Michel devait revoir ses parents. Je l’ai accompagné jusque sur l’avenue. C’est là qu’il me dit à voix basse : « Ce garçon est un peu maso. On lui fera ce qu’il peut aimer et surtout il doit avoir grosse envie d’être sodomisé. Je le prendrai le premier si tu veux bien car ma bite est moins grosse que la tienne ! Mais ne crois-tu pas que Damien pourrait être invité ? Nous pourrions le présenter à "maman". C’est un joli garçon. Et blond ce qui lui plait ! Tu te rends compte du plaisir qu’elle aurait à lui faite passer sa visite médicale. C’est trop ! Et puis l’attitude domina-trice de Damien plairait à Marc s’il est maso ! « Présenter Damien à "maman" pourquoi pas… ». Je répétais spontanément ses propos et j’éclatai de rire. Lui aussi.
- Damien, dis-je …après tout … dis le lui. Il m’a baisé plusieurs fois cet été. Après, on en parlera éventuellement.
Mais je restais pensif en remontant l’escalier. Je n’étais plus avec Loulou et sa "maman". Demain Marc viendrait s’ajouter à nous. Mais les temps changeait..Je fus saisi par une vague de remords.
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